Je ne crains rien, pas même la mort ! [SOLO]

J'étais de retour sur Grand Line depuis... environ une semaine. Les mers bleus, je n'y étais pas resté longtemps. Elles sont beaucoup trop calme. Mais j'avais eu l'occasion de récupérer du matériel pour les navires. Je voulais apporter tout ceci sur l'archipel Shabondy pour des raisons personnel. C'est pour cela que j'étais sur Grand Line sur une sorte de petit bateau qui avait tout juste de là place pour mon WaverFire et mon garde-manger, car le reste du bateau était une remorque remplie de bois et autre matériaux. Bref, c'est ainsi que je retrouvais cette mer déchainé, ces vents irréguliers et ce brouillard si épais.... Quoi ? Ce brouillard ? Je ne l'avais pas encore remarqué jusqu'alors, mais je venais d'entrer dans un brouillard incroyable. Hmm... j'étais vraiment pas un super navigateur. Même avec mon Kero Eternal Pose. Logiquement, je devais passer à coter d'Enies Lobby. Hors là j'étais... hmm... d'après se que je constatais, je venais de me faire engloutir par le Triangle Florian. La plupart des pirates connaisses le Triangle Florian, aussi surnommé la mer des fantômes. Alors pour un mordu de légende comme moi, j'étais obligé de connaître cet endroit.

D'après se que l'on raconte, le Triangle Florian fait disparaitre des dizaines de navires chaque années, voir plus celons les légendes. Il est dit que l'on y trouverait des fantômes, zombies et monstres en tout genre. Et comme si se n'était pas suffisant, il y a parfois des bateaux qui se perdes à l'intérieur du brouillard et qui n'arrivent plus jamais à y ressortir. Heureusement, mon petit Kero me montrera la voie. Il sera un peu comme Rudolf, le renne au nez rouge du père noël. Sauf que plus l'on s'enfonçait dans le brouillard, plus Kero semblait inquiet. Il est vrai que l'on y voyait pas grand chose et que l'on entendait fréquemment des bruit étranges. Mais bon sang, nous sommes des pirates. Ou en tout cas, je fais en sorte qu'il le devienne complétement. C'est pour cela que je tentais de le calmer.

« Arrête de trembler Kero. Tu es un pirate et tu s avec le plus puissant de tout les pirate. La plus grande crainte du monde c'est moi, donc tu n'as rien à craindre. Et puis, n'oublie pas que tu es un fière lion, le roi des animaux. Montre toi droit. »

L'animal robotique me regardait avec la tête penchait légèrement. Puis il gonfla la poitrine et se regarda fièrement vers l'horizon, déterminé comme jamais. Mes paroles semblaient avoir eu un impact sur lui finalement. Sa crinière, même dans le brouillard, semblait flamboyer. Se qui prouvait qu'il était chaud bouillant pour n'importe quoi. Voilà un pirate digne d'être dans mon équipage.

Nous naviguions ainsi pendant deux bonnes heures et pourtant... Le brouillard était-elle que l'on avait l'impression de ne pas avancer d'un pouce. La mer autour de nous était tellement calme, chose incroyable pour Grand Line, cela rendait l'endroit encore plus inquiétant qu'il ne l'était. Je comprenais pourquoi l'on appelait cet mer, la mer des fantômes. Cependant j'étais déçu qu'il n'y en avait aucun véritable. Puis quelques instant plus tard, je fus content... je m'étais trompé.

Alors que je prenais mon troisième repas de midi, je ne pouvais malheureusement en prendre plus quand j'étais en mer, une ombre s'abattit sur nous. Et un bruit nous démontra que l'on avait percuté quelque chose. Je sortais de la seul et minuscule cabine du bateau et jetais un œil pour voir se qu'il se passé. Ma surprise fut grande. Devant notre embarcation se dressait un énorme mur. Et quelques mètre plus loin, le long de ce mur, il y avait une gigantesque porte en forme de bouche. Pas croyable, je venais de me faire avalé par... une île. C'est se que je songeais en regardant derrière moi. Car il y avait une île un peu plus loin. Et le mur, il semblait faire tout son tour. Maintenant que j'étais ici, autant faire un tour sur l'île, je pourrais peut-être faire un bon repas avec de la chance. Je venais de manger, mais ma faim était grande. Sûrement l'appel de l'aventure qui vaut cela. J'amarrais le bateau à un petit quai. A l'entré de l'île, il y avait un grand écriteau avec inscrit « Thriller Bark ». La visite allait sans nul doute être passionnante.

Je réveillais Kero en sursaut et jetais l'encre. Le petit animal c'était octroyé une petite sieste pendant le voyage. Je le suspectais d'avoir fait ça pour ne pas avoir à supporter toute la traversé du Triangle. Donc forcément, là il n'allait pas être déçus. Le prenant dans ma capuche, je sautais hors du bateau et débarquais enfin sur l'île bien étrange.

Gothique. C'est la première chose auquel j'ai pensé. Le paysage, l'ambiance, le paysage. Oui cela fait deux fois, mais le décor semble vraiment être sortie d'un film d'horreur. Personnellement, cela ne me dérangeais pas du tout. Ma façon de penser et que je suis la personne la plus effrayante qui soit au monde, la plus forte, la plus dangereuse. Donc je n'ai rien à craindre, quoi qu'il arrive. Ayant hâte de découvrir se que renferme cet étrange endroit, la surprise fut grande... non, énorme ! Quand j'aperçus le premier habitant de l'île. Car devant moi, toute griffes dehors, se dressait une... hmm... une Chimère. Oui oui, vous savez cette créature moitié lion, moitié... bah là croyez le ou pas, mais l'arrière de la créature était celui d'un lapin géant. Bien que certains seraient effrayaient, moi j'étais surtout curieux sur le coup. Puis, mon euphorie particulière reprit le dessus sur moi. Une créature comme ça, on en voie pas tout les jours. Je voulais la capturer et la dresser. En me promenant avec, ça serait vachement impressionnant.

« Kero, regarde bien c'est un gros chat ! Il va être notre futur nouvel ami. Je vais le dresser. »

Étrangement, mon petit compagnon n'était pas d'accord. Sûrement était-il jaloux... même s'il donnait plus l'impression d'être effrayé. Il effectuait un petit grognement pour me dire qu'il ne voulait pas.

« Soit pas idiot. Tu restes le roi des animaux. Et puis si tu t'inquiète, n'oublie pas que j'ai réussi à te dresser toi, sa ne devrait pas être bien compliqué avec lui. »

Là, il fut un peu vexé et me mordit l'oreille. Puis la frayeur reprit le dessus et il se cacha à nouveau dans ma capuche. De mon côté, je m'adressais maintenant à l'étrange Chimère.

« Gentil Minou. Au pied ! »

La grosse bêbête obéit très bien. Avec ses pattes arrière de lapin il me sauta dessus. Sauf qu'il ne voulait pas m'obéir, il voulait me dévorer. C'est donc la gueule grande ouverte qu'il plongea ses crocs vers moi. Soupirant légèrement, je lui tendais mon bras droit. Il y enfonça ses crocs sans hésiter... mais se cassa les dents. Pauvre gros minou, je suis pas comestible moi, je suis une sorte de grande boîte de conserve... très résistant. L'animal trop surprit avec toujours mon bras dans la gueule.

« Gentil minou, gentil. Maintenant, couché ! »

Et d'un coup franc, je lui envoyais mon pied de titane en plein dans la face. La Chimère n'était pas très résistante apparemment et tomba sur le sol avec les larmes aux yeux. C'est alors que je lui tapotais sur la tête gentiment. Kero de son côté sortait la tête pour mieux contempler l'animal. Maintenant, il ne risquait plus d'être violent. La brave bête. Je le remis debout, grimpais sur son dos et lui indiquait d'avancer. Il faisait une très bonne monture. Sauf qu'il se déplaçait en sautillant avec ses pattes arrière. Je devais donc bien m'accrocher, comme pour un rodéo.

La ballade fut courte. Lors du trajet, je pouvais constater qu'il y avait dans la forêt tout autour de nous des tas de monstres étranges et même... des arbres vivant. C'est d'ailleurs se qui mit fin à notre promenade. Je constatais qu'un sapin non loin de nous était vivant. Il avait mauvaise mine, mais c'était bien un sapin. Sautant du dos de la Chimère, je me mis à courir vers le sapin. En me voyant arriver comme un fou, il tenta de fuir, mais en vint. Je lui sautais dessus et l'emprisonnais entre mes bras. Vous imaginaient si je pouvait faire un bateau avec un tel arbre ? Cela ferait un bateau... vivant... trop classe !! Même si pour le moment j'avais autre chose en tête pour lui. Je le portais sur mon épaule tout en marchant vers une petite lumière que l'on pouvait voir au loin.

« Mon gore sapin ♪ Roi des ténèbres ♪ Que j'aime ta pourriturreuh ♫ »

C'est sûr cet air mélodieux que je m'avançais vers cette étrange lueur qui perçait l'obscurité pesante de l'endroit. Une sorte de petite forêt bien lugubre. Cela n'aurais servi à rien de retourner vers mon Griffon apprivoisé... il c'était enfui pendant que j'avais le dos tourné.

Bref, alors que je m'approchais de plus en plus de l'endroit d'où provenait la lueur, je marchais sur la pointe des pieds afin d'être plus discret. Caché derrière un arbre, je déposais mon sapin zombie derrière moi. Grave erreur, car il profitait de mon inattention pour fuir. Tant pis, si je retombe sur lui, je tenterais à nouveau de le capturer. En attendant, je constatais que cette lumière était émise par un feux de camps. Et tout autour se trouvait... des zombies. Je ne savais même pas que ça existait. J'étais très surpris mais aussi très heureux. J'allais pouvoir faire une chose que je rêvais de faire. Foutre la trouille à des monstres d'horreur. Avec quelques morceaux de bois, des feuilles et quelques truc trouvé par ci par là, je créais en un instant un énorme masque de 2 mètres. Celui-ci représentait la tête d'un dragon. Je lui plaçais à l'arrière une sorte de tube pour servir de mégaphone et ainsi amplifier les bruits. Il ne restais plus qu'à agir. Je posais Kero sur le sol et lui donnais mes consignes...

Je m'avançais seul à découvert vers les zombie, mains sur les hanches, prenant un air fière et un peu démoniaque. Ils me regardèrent comme si j'étais une bête de foire. Ils ne devaient pas être habitué à se qu'on les affrontes comme ça. Je me doute qu'en général, les gens doivent les fuir. L'un d'eux avait un filé de bave et je me demandais s'ils souhaitaient me dévorer.

« Aggrrreuh... ici c'est notre île. Tu vas mourir pour ton audace agrrreuh. »

Tentative désespérée pour me faire fuir. Je ne sais pas si avec les autres cela fonctionne, mais là j'avais une grosse envie de rire. Bref, le moment était venu d'agir.

« Je suis le grand Capitaine Hope D. King, accompagné de mon fidèle dragon. Celui-ci va se faire une joie de vous rôtir Gniahahahahaha ! »

J'avais un rire démoniaque vraiment... agaçant. Mais je l'aimais bien. Les Zombies, eux, s'arrêtèrent un instant pour essayé de voir si je mentais ou pas. Puis, sortant entre deux arbres derrière moi, le masque en forme de tête de dragon apparu et des grognement féroce en sortir. Le plan fonctionnait à merveille, car les zombie en voyant cela, se mirent à prendre leurs jambes à leur cou. C'était peu dire, car l'un d'entre eux avait vraiment porté sa jambe à son cou. Celle-ci était détaché du reste de son corps. Moi, j'étais plié de rire sur le sol. C'était vraiment amusant. Kero, qui avait fait les grognement dans le pseudo mégaphone derrière le masque, me rejoignis. Cette île, j'étais persuadé que je n'avais pas fini de m'y amuser... si seulement je savais à quel point...

Après cette bonne dose de fou rire, je reprenais doucement mon calme. Tout ceci m'avait creusé l'estomac. Je devais donc partir à la recherche d'un peu de nourriture. Je donnais l'ordre à Kero de ne pas bouger d'ici pendant que j'allais jeter un œil aux alentours. Cet endroit était parfait car il y avait déjà un feu. Donc il devait monter la garde.

Je ne m'éloignais pas trop et ne cherchais pas longtemps. Car la seul nourriture que je trouvais semblait avoir pourrit. Pas très appétissant. C'est donc bredouille que je retournais au feu. En arrivant, tête baissé, j'annonçais dans un soupir la triste nouvel à mon petit compagnon de voyage.

« Désolé Kero, mais j'ai rien trouvé de comestible. On devrait chercher vers le château... Kero ? Ù es-tu ? »

Je venais de remarquer qu'il n'était plus prêt du feu de camp. Celui-ci était tout à coup bien trop calme. L'animal ne serait jamais partit sans ma permission, sauf s'il n'en avait pas le choix. Je m'approchais du dernier endroit où je l'avais vue et m'abaissais. Sur le sol, il y avait un petit morceau de tissu. Quelqu'un était venu ici. Un peu plus loin, je voyais des traces de pas. Celles de Kero également. Puis les siennes disparurent à un moment donné. Autrement dit, on l'avait porté. Autrement dit, on l'avait enlevé. Je serrais les poings et me relevais tout en regardant autour de moi. Mon regard était sérieux à présent, chose rare chez moi. Peut importe qui avait touché à mon ami. Il allait le regretter.

Suivant la piste des traces de pas, je courrais. Et tombais rapidement sur les zombie de tout à l'heure. Était-ce eux qui avaient enlevé mon ami ? Je n'en avais aucune idée. Mais je les ferais parler. Quand ils me virent, il n'y avait plus de crainte dans leurs yeux. Ils avaient donc compris que le dragon de tout à l'heure était une farce. Se qui faisait d'eux, mes suspects numéro 1. L'un d'eux, sans cri égard, me chargea et levait le poing afin de m'assener un coup. Je ne bougeais pas et me contentais de les regarder méchamment. Le coup me toucha, mais dans mon corps de titane, c'est lui qui eu mal à la main. Ils n'étaient pas très fort de toute évidence. De mon côté, je lui attrapais la tête, puis vint l'éclater contre le sol violemment. Zombie ou pas, il allait souffrir. Les autres commençaient à être un peu effrayé maintenant. Je fis craquer mes poings et m'avançais en marchant vers le groupe.

« Rendaient moi mon ami, immédiatement. »

Ils ne bougèrent pas tout de suite, ne savant pas trop quoi faire. Et de toute façon, je ne leurs en laissais pas l'occasion. Je fonçais sur l'un d'eux et lui enfonçait mon pied dans l'estomac, puis d'un coup de coude violent contre son crâne, lui faisait manger le sol. Puis, j'attrapais un second Zombie par le col et le soulevais au dessus du sol.

« Pour la dernière fois. Où est mon ami ? »
« Nous ne l'avons pas, je vous le jure. C'est pas nous, c'est la faucheuse qui l'a prise. »

La faucheuse ? Était-il en train d'insinuer que Kero était mort ? Impossible pas lui, je ne me le pardonnerais jamais. Et à eux non plus. Je les tuerais cruellement, même s'ils sont déjà morts. La colère se faisait entendre dans ma voie.

« Tu te fou de moi ? Vous l'avez tué ? »
« Non non. C'est la faucheuse qui l'a prit. Elle l'a emmenée avec elle dans le château je vous le jure. Elle n'est pas avec nous, bien au contraire. »

Je lâchais prise. La faucheuse était donc une personne. Et les Zombies semblaient la craindre. Je l'entendais au son de sa voix. Étant donné qu'il m'avait aidé, je les laisseraient tranquille. En plus, je savais maintenant que je devais chercher dans le château. Je le raserais entièrement s'il le faut, mais je retrouverais mon ami. J'étais chaud bouillant.

Je débarquais dans le château par la grande porte. Pour le peu que je voyais, je pouvais dire sans hésiter, que le décor intérieur correspondait parfaitement avec celui de l'extérieur. Autrement dit, tout ici était également lugubre avec un côté gothique. Pas ma tasse de thé tout ça. Mais je n'avais pas d'autre choix que de m'aventurer à l'intérieur. En avançant, je me disais que les lieux devaient être habité, car des torches étaient allumé. C'était pas plus mal, j'ai pas encore l'option lampe.

Je parcourais de nombreux couloirs sans trouver rien n'y personne qui aurait pu m'indiquer où se trouvait cette faucheuse. L'endroit était beaucoup plus grand que se que j'aurais cru. Un vrai labyrinthe. Tout fouiller allait me prendre des heures, mais je ne devais pas renoncer, quoi qu'il arrive. Bien que j'étais seul, j'avais sans cesse l'impression que l'on m'observait, c'était vraiment dérangeant. Et j'avais beau marcher tout en observant mes arrières, rien n'y faisait, j'avais toujours cette horrible sensation. Puis, il y eu un éternuement non loin de moi. Tout de suite, je regardais dans la direction du bruit. Mais il n'y avait qu'un mur avec un tableau qui encadrait la tête d'une vache. Je fixais celui-ci pendant au moins une minute... puis remarquais qu'il venait de cligner des yeux. Pas croyable, bien que plus rien ne devrait m'étonner ici, la tête de vache était vivante. Un sourire se dessinait sur mes lèvres.

« Trop cool ! Tu vas venir avec moi. »

Et alors que je m'apprêtais à l'attraper pour le décrocher du mur, le bovin se mit à hurler.

« Au secours !! Les champignons, attaquaient le !! »
« Les champignons ? Tu as pas mieux comme diver... sion... »

J'eus du mal à terminer ma phrase, car j'entendais des « Boing » derrière moi. Me retournant brusquement, je vis une dizaine de petits champignons avec des yeux et des bras. Ils avançaient en rebondissant, d'où le « boing ». Ils m'arrivaient aux genoux et ne semblait pas très dangereux. Mais j'étais bien placé pour savoir qu'il ne faut pas se fier à la taille. Et donc très vite, je regrettais de les avoir sous-estimais. Car tous en cœur, ils se mirent à me viser avec leur chapeau, et un gaz s'en échappa.

« Du gaz toxique ! Les saletés ! »

Je me couvrait le visage avec mes mains et plongeais sur le côté pour m'éloigner rapidement d'eux. Déjà ils se tournaient et s'apprêtaient à relâcher du gaz. Moi, je pointais ma mains droite vers eux.

« Mode lance flamme !! »

Sauf que... j'ai pas de mode lance flamme. Petit détail que j'avais oublié. J'effectuais donc des flips arrière pour remettre de la distance entre nous. Puis, je plaquais mes mains sur le sol. Aquilon. C'est alors que des pics sortirent du sol et vinrent embrocher les sales bêtes. Si j'avais eu un lance flamme, je m'en serais fait des chamallows.

En attendant, j'avais complétement oublié le tableau et ne m'en préoccupais plus. Cela me ferais perdre encore du temps, et je devais me dépêcher. Qui sait se que cette faucheuse pourrait bien faire endurer à mon ami. Je traversais plusieurs pièces et arrivais dans un grand salon. Au bout de celui-ci, il y avait quelqu'un. Ce personnage avait une tête de citrouille, littéralement parlant et un sabre à sa ceinture. Les bras croisés il semblait m'attendre. Encore un drôle de zigoto qui veut jouer les dures.

« Dégage de mon chemin le potiron. »
« Impossible. J'ai l'ordre d'empêcher quiconque de passer par ici. »

Et sur ce, il dégaina son sabre pour me prouver sa détermination. Futile. Je pointais mon index vers lui, comme si ma main était un revolver. Puis je fis feux et la phalange de mon index en titane partit comme une balle de revolver, directement dans le corps du gars à la tête de citrouille. Sauf qu'au lieu de s'écrouler de douleur, il resta debout devant moi sans broncher.

« Aie. »

C'est tout un simple petit « Aie. » ? Non mais c'est de plus en plus délirant ce truc. Je n'eus pas à me poser la question longtemps du pourquoi ou du comment. Car grâce à mon air surprit, il répondit lui même à mes questions.

« Je suis un Zombie, je suis déjà mort. Donc même si ton coup m'a fait mal, je ne peux mourir. »
« Ce n'est que ça ?! No problem. »

Moi qui m'étais dit un instant qu'il caché une force incommensurable, là j'étais chaud bouillant pour lui mettre une raclée. Sword. En touchant mon bras droit, je créais une lame dessus. Puis se chargeant tout les deux, nous échangeâmes des parades. Ce zombie avait beau n'être qu'une tête de citrouille, il s'en sortait plutôt bien avec un sabre. D'ailleurs, un moment donné, il effectua une parade qui me força à reculer. Et là, mettant son sabre au dessus de sa tête, je compris qu'il allait effectuer une puissante attaque. J'eus tout juste le temps de placer ma main au sol et de créer un mur devant moi. Son attaque trancha le mur, mais elle fut dévié de sa trajectoire. Sortant de derrière le mur, je me mis à courir vers lui. On monta tout deux nos armes, sauf que moi, au dernier moment, je créais un ressort sous ma jambe gauche et passais par dessus de mon adversaire. D'un geste, je lui tranchait sa tête de citrouille. Celle-ci roula sur le sol comme... bah comme une citrouille. Je m'approchais d'elle et la récupérais dans mes mains.

« Aaahhh rend moi mon corps ! »

Bah oui, il reste un zombie avec ou sans corps. J'avais trouvé son poing faible sans vraiment y prêter attention. Et tout ça allait me rendre service.

« Je vais t'emmener avec moi et tu vas m'indiquer la route jusqu'à ton maître. Maintenant, allons-y. »

Au départ, la tête de citrouille n'était pas très conciliante et refusait catégoriquement de m'aider. Cependant, quand je lui fis comprendre qu'il n'avait pas d'autre choix et que dans le cas contraire j'allais vraiment le bouffer, il a cédé. Bien que ronchon, il m'indiquait qu'elle porte et quel couloir prendre. Et l'on marchait ainsi pendant presque un quart d'heure, avant que je me rende compte qu'il me faisait tourner en rond.

« Non mais tu te fou de moi !! Tant pis, tu me donnes vraiment trop faim... »
« Non non non, attend, c'est par cette porte qu'il faut passer, je m'en souviens maintenant. »
« Mouai, il y a intérêt pour toi que se soit vrai. C'est mon dernier avertissement. »

J'empruntais donc le nouveau chemin qu'il m'indiquait. Cette fois je ne tournais pas en rond, il semblait vraiment me mener quelque part. Enfin j'allais donc pouvoir retrouver mon ami et mettre une bonne raclé à cette faucheuse. Très vite, j'arrivais dans une vaste salle. Probablement une salle de bal. Des personnes en armure étaient déjà ici. Rectification, des zombies en armure étaient déjà ici. Lorsque j'entrais, ils se tournèrent tous vers moi. Étrangement, je ne pensais pas qu'ils avaient dans l'intention de me proposer une danse. Surtout que la tête de citrouille roula hors de mes bras et se mit à hurler.

« C'est un intrus, un ennemi !! Tuez le ! »
« Saleté de potiron, tu vas me le payer. »

Mais je n'avais pas le temps de m'occuper de lui. Les chevaliers zombie sortaient leurs épées de leurs fourreaux et préparaient leurs hache et hallebarde prêt à me tailler en pièce. L'un d'eux était même sur un cheval en os et n'avait pas de tête. Un cavalier sans tête. J'étais émerveillé devant cela, mais ils n'allaient pas me laisser le temps de l'être encore beaucoup. Pour sûr, ils me chargeaient déjà. Une bonne bagarre, comme dans les tavernes. Sauf que là, mes adversaire sont des zombies en armure probablement doués en combat.

Les coups d'épées, de haches et d'autres armes tranchantes passèrent à côté de moi rapidement. De mon côté, j'envoyais des coups de poings dans tout les sens. Le problème, c'est qu'ils étaient trop nombreux et que j'avais de plus en plus de mal à éviter les coups. Le pire, c'est qu'à chaque fois que j'en met un k.o., il se relève tout de suite. Les zombie ne peuvent mourir car ils sont déjà mort. La citrouille m'avait prévenu. J'eus alors une excellente idée lorsque quand frappant dans l'armure d'un des zombie j'entendis un « Bong ». Leur amure allait devenir leur point faible. Évitant un coup tranchant, je plaquais mes mains sur une armure. Celle-ci se transforma alors en un bloc de métal, bloquant toute les articulations du zombie. Et un en moins... PAF ! J'avais pas réussi à être suffisamment rapide, le cavalier sans tête m'avait mis un coup de lance qui m'avait fait voler à l'autre bout de la pièce contre un mur.

« Aie ! »

Je me relevais doucement, les yeux jetant des éclairs sur mes adversaires. Ils étaient beaucoup trop nombreux et moi pas suffisamment rapide. Mais je pouvais changer ça. Je ne suis plus le même qu'avant, je n'ai pas choisi de devenir Corsaire pour rien. Je suis plus fort. Et je vais les vaincre.

« Mode... Booster X. »

Les turbines à l'intérieur de mon corps se mirent en marche à pleine puissance. Un petit nuage de vapeur s'échappa de tout mon corps. Les zombies furent surpris dans l'instant, et ils avaient de quoi l'être. Le cavalier sans tête me chargea à dos de cheval. Sauf qu'au moment de me frapper, je disparu de ses yeux pour réapparaitre à une vitesse hallucinante derrière son dos. Je le frappais de mon poing vengeur et au contact de celui-ci et de l'armure du zombie sans tête, celle-ci le coinça complétement. Puis je disparu à nouveau des yeux des zombies et les frapper un par un à une vitesse incroyable. Leurs armures ne devenaient plus qu'un gros bloc de métal sans articulation à chaque coup. Avec cette vitesse hallucinante, je réussi à neutraliser très vite et sans difficulté les zombies. Cette nouvelle force en moi était incroyable. Mais maintenant que j'étais de nouveau tranquille, je retrouvais la tête de potiron. Elle n'avait pas roulé très loin, elle avait seulement atteint un balcon au fond de la salle. Je la rattrapais et posais doucement mon pied dessus.

« Apparemment tu ne veux pas m'aider. Donc si tu ne me sert plus à rien... »
« Non non attend !! Ne fais pas ça ! Je n'y peux rien, je ne sais pas se que tu veux de moi ! »
« Je veux retrouver ton maître. La faucheuse. »
« Quoi ? Tu pouvais pas le dire plus tôt ?! »
« Je t'ai déjà demandé tout ça. »
« Mais non, car la faucheuse n'est pas mon maître, je n'ai pas de maître. Si c'est elle que tu veux, je vais vraiment t'aider. Elle se trouve dans la plus haute salle de la plus haute tour... là bas. »

Il m'indiqua du regard une tour immense. Zut, si seulement j'avais été plus clair dès le début, je n'aurais pas eu à affronter tout ces problèmes. Mais passons, de toute façon je n'avais pas l'intention d'écraser cette tête de citrouille, c'est vraiment beurk. Donc maintenant, il ne reste plus qu'à grimper là haut, foutre une bonne raclé à cette faucheuse et récupérer mon ami. Rien de plus simple.

« Mode Aéro X. »

Et sur ces mots, des réacteurs sous mes pieds se mirent en marche et je m'élevais dans les airs. Mon second mode était tout aussi intéressant que l'autre, et grâce à lui, j'allais pouvoir atteindre la tour très rapidement, simplement et par surprise. Ainsi, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je faisais une entrée fracassante par la fenêtre de la tour. Apparemment, l'endroit était une vaste chambre un peu trop féminine à mon goût. Dans un coin de la chambre, Kero. Il était là et en pleine forme. Puis je sentis l'ombre derrière moi. J'eus tout juste le temps de me retourner et de me protéger avec mon bras droit. Une faux. Voilà donc d'où lui venait le surnom de faucheuse. Elle n'est pas la mort, et surtout... c'est une fille. Je reculais immédiatement après et pris la peine de l'observer un peu. Pas très grande, les cheveux d'un blond très pâle et attachaient avec deux couettes, une grande veste noir et une jupe d'écolière. Elle fit virevolter son énorme faux avec une force et une dextérité surprenante. Elle avait beau ne pas être très imposante, elle détenait une force hors norme.

« Pas mal. Mais tu vas relâcher mon ami, même si pour cela je dois te remettre à ta place. »
« J'aime bien ce petit animal et il n'est pas un zombie lui. Donc, non, je vais le garder avec moi. Et évite de prendre la grosse tête petit Corsaire. Je ne te crains pas. »

Un grand sourire se dessina sur mes lèvres. J'étais très content qu'elle est autant de cran. C'était une chose rare de rencontrer des personnes d'une tel valeur. Une chose est sûr, j'allais apprécier se qui allait suivre. D'un bond elle se propulsa avec sa faux sur moi, j'évitais le coup en sautant par dessus et constatais qu'elle venait de trancher une partie du mur derrière moi. Je devrais éviter de me faire toucher. Prise dans l'élan de son coup, je voyais une ouverture. J'envoyais donc droit devant moi un coup de poing. Cependant, l'ouverture était factice. S'abaissant elle fit tournoyer a grande vitesse sa faux par dessus elle, l'envoyant droit sur moi. N'ayant d'autre choix, je stoppais mon attaque et me servi de cet élan pour passer de justesse au dessus de la faux. Je retombais sur le sol en position pour faire des pompes. Sauf que je me servis de ça pour créer un énorme poing dans le sol qui frappa la demoiselle. Là encore, surprenante, elle le trancha et fut forcé de reculer d'un bond. Le combat était serré et acharné. Aucun d'entre nous n'arrivait à prendre le dessus sur l'autre pour le moment. Au corps à corps je n'avais aucune chance de prendre le dessus sur elle, mais dans un tel endroit, je ne pouvais faire autrement.

Pendant plusieurs minutes nous échangions des coups et des parades sans jamais réussir à atteindre l'autre. L'endroit était ravagé. C'est alors qu'un grand « Boom » se fit entendre au dessus de nous. Tout deux nous nous regardions cherchant si l'un d'entre nous était la cause de ce bruit. Apparemment, non. Puis, venant de la plupart des trous que l'on avait formé, une sorte de gaz vert s'infiltra rapidement dans la chambre. Dans un murmure je prononçais les mots que la faucheuse pensait également.

« Du gaz toxique... »

Attrapant Kero, je sautais par la fenêtre la plus proche suivi de près par la faucheuse. La chute était grande, mais avant de percuter le sol de plein fouet et de m'écraser, j'activais les réacteur sous mes pieds et fis un atterrissage en douceur. La faucheuse avait glissé le long de la tour à l'aide de sa faux. De plus en plus impressionnante cette fille. Elle atterri en roulade à côté de moi.

« Ce gaz. C'est le même que les champignons que j'ai détruis dans le château. »

Elle me contempla alors avec des yeux rond. Et se mit à hurler, furieuse.

« Tu as fait quoi ?? Espèce de crétin !! Ces champignons ne sont pas des zombies, ils ont été créer par un médecin fou il y a quelque temps. D'après se que je sais, il et aujourd'hui à Impel Down. Bref, les champignon que tu as détruit... ils ont... euh... une maman. En général elle attaque pas, mais là... »

Mais là, elle sauta de la tour et atterrit dans un fracas assourdissant devant nous.

Je sais que se n'est pas se que j'aurais dû demandé, se que j'aurais dû faire attention, mais je ne pouvais m'en empêcher dans le moment.

« Ce Médecin devait être très fort. Comment tu sais tout ça sur lui ? Tu le connais ? »

Elle me regardait maintenant avec un regard choqué. Normal, nous étions fasse à un ennemi redoutable et je ne me préoccupais que de l'homme qui aurait créé ce monstre. Malgré tout, comme la créature ne nous attaqué pas dans l'immédiat, elle prit la peine de me répondre.

« En effet il devait être très fort, il avait une prime impressionnante sur sa tête. Je le sais car j'ai découvert son bureau dans le château et j'ai reconnu sa tête dans le journal annonçant qu'il avait était capturé et envoyé à Impel Down. Maintenant, concentre toi, cette chose n'est pas faible. »

Et comme pour acquiescer ces dires, le champignon géant cracha une sorte de jet d'acide. Plongeant sur le côté, j'esquivais la mixture qui faisait fondre le sol. Titane ou pas, sa ne doit pas être bon pour mon corps ce truc. La faucheuse profita qu'il s'occupait de moi pour foncer sur lui. Sauf qu'à peine arrivé à sa hauteur, le champignon dégagea un gaz toxique tout autour de lui. La jeune fille n'eut d'autre choix que de s'éloigner rapidement de lui. Génial, il attaqué à distance et nous ne pouvions pas nous approcher de lui. Un ennemi sans problème, comme chaque jours. Je transformais mon bras gauche en un canon et lui balançais un boulet. Sauf qu'il ne réussi jamais à atteindre la cible, car le champignon le fit fondre avec sa bave acide. Je ne pouvais l'atteindre comme ça, il fallait que son attention soit détourné un instant. Jetant un regard à la faucheuse, elle sembla comprendre se que j'avais en tête. D'un grand bond, elle sauta et mit sa grande faux au dessus d'elle.

« Majin Gari... »

La lame de sa faux s'illumina et fit illusion de prendre l'apparence d'un croissant de lune. Une puissante énergie se dégageait de l'arme. Et d'un geste, elle fit un coup tranchant dans le vide.

« … Tranche Démon ! »

Une lame d'énergie se dirigea de plein fouet vers le champignon. Je n'allais même pas avoir besoin d'intervenir, car cette attaque était très puissante. Cependant, en l'effectuant, la jeune fille perdit l'équilibre et tomba sur le côté. Sa technique dévia un peu et ne fit que frôler la vilaine créature. La technique était puissante, mais elle avait encore du mal à la maitriser. Bref, cela avait quand même fonctionné. La créature prise de colère ne faisait plus du tout attention à moi, elle était prête à détruire la demoiselle. Je profitais de son inattention pour passer derrière elle et sauter par dessus. Je transformais alors mon bras droit avec le surplus de titane en moi et acquis à la place un énorme poing de géant. Je concentrais ensuite du Haki de l'armement dans le poing, et, en chutant, je redescendais poing devant sur mon ennemi.

« Mooda Kyojin ! Impact du géant ! »

Mon poing écrasa, éclata, pulvérisa la méchante créature. Ceci fait, un grand nuage de poison souffla. Je reteins ma respiration le temps qu'il passe et la demoiselle fit de même. Une fois le nuage dissipé, se qui ne prit que quelque secondes, je récupérais Kero.

« Tout va bien ?! »

Je constatais que oui. Il était en pleine forme, la faucheuse avait prit soin de lui. Je n'avais pas à m'en faire finalement, cette fille était... particulière. Elle me regardait, moi, puis Kero. Et finit par soupirer.

« Très bien, je te le laisse. »

Amusant, comme si elle avait le choix. Elle avait pus constater ma puissance. Mais je lui souriais quand même. Tout ceci avait été très amusant. J'avais bien besoin de me dégourdir un peu et cet personne m'avait permis de le faire. Une chose me venait alors en tête, mais pour cela, je devais en apprendre plus.

Après ce rude combat et toute cette petite aventure dans un endroit vraiment étrange, je retournais vers mon embarcation. La faucheuse accepta de m'accompagner jusqu'à mon bateau. Nous étions réconcilié pour le moment et j'avais des questions à lui poser. D'ailleurs, j'avais appris son nom. Elle s'appelle Cassie Read. Peut-être en avait-elle aussi. Bref, alors que l'on marchait près d'une forêt sombre, je constatais que les zombies nous évitait. Nous nous étions fait respecté sur cette île. Je commençais alors à lui demander se qui m'intéressais. Entre autre, qu'est-ce qu'elle faisait ici. Elle avait beau avoir un petit côté gothique, elle n'était pas un zombie.

« Je suis arrivé ici il y a environ un mois. Je fuyais un navire de la Marine et j'ai décidé de faire des recherches dans cet étrange endroit... en vint. Tu sais, je suis recherché par la Marine, tu as peut-être vue ma prime dans le journal ?! »

Je lui fit non de la tête. Le journal... j'adorerais le lire, mais je n'en prend jamais la peine. Pour tout vous dire, même ma prime je ne l'avais jamais vue. C'est un peu triste, il faudra que je change ça à l'avenir.

« Désolé, mais je ne lis pas le journal. Mais tu as fais quoi pour avoir cette prime ? »

Elle baissa la tête, cela devait lui ramener des mauvais souvenir. J'eus très vite la confirmation, car elle prit quand même la peine de me répondre.

« Mon père était un grand Archéologue, et moi j'étais sa navigatrice. Je suis très doué pour la navigation. Bref, un jour, nous sommes tombé sur un... Ponéglyphe. La marine est alors arrivé de nul part et a cru que nous tentions de lire le Ponéglyphe. Se qui était faux. Ils ont alors capturé mon père me permettant ainsi de fuir. Mais je ne pouvais l'abandonner. Je suis revenu sur mes pas et j'ai découvert la vérité. L'ancien disciple de mon père qui avait rejoint la Marine, c'est lui qui avait prémédité tout ça pour se venger. Lorsque je suis arrivé, il avait tué mon père... J'ai réussi à fuir, mais depuis je suis accusé à tord. Mais je n'en ai rien à faire, tout se que je veux c'est réaliser le rêve de mon père. C'est à dire, découvrir les plus grandes merveilles du monde. »

Une chose extrêmement rare venait de se produire. J'avais écouté en entier un discours que l'on m'avait fait. Et je dois dire que son histoire était intéressante. Cela en disait long sur elle, elle me plaisait de plus en plus. En tant que Pirate je parle, évidemment. Elle était une victime de la Marine, d'un traitre. Nous continuions à avancer et à parler pour en apprendre plus sur l'autre. Donc, elle appris pratiquement rien de moi. Mais au contraire, j'en appris suffisamment sur elle. Lorsque l'on arrivait à mon bateau, je pris la parole. J'étais décidé et déterminé.

« Tu parcours Grand Line depuis un an déjà, ton rêve... tu ne pourras le réaliser en restant ici. »

Elle m'observait, intrigué. Elle avait compris que je ne disais pas ça pour rien. Je sortais alors de l'intérieur de ma veste, une simple enveloppe. Puis je lui donnais. Elle l'a prit et se mit à lire la lettre à l'intérieur. Son visage eu plusieurs expressions que j'avais du mal à traduire. Puis, prenant un petit air supérieur, elle me répondit.

« Moui. Je vais y réfléchir. De toute façon on se verra là bas dans deux mois. Je dois m'y rendre pour... visiter. »

Elle avait beau se donner un air supérieur, je comprenais à travers ces mots et voyais à travers ces yeux. Elle était euphorique à l'intérieur et elle acceptait se que je lui demandais. Avec un sourire en coin, je remontais dans mon bateau avec Kero. Mais avant que je reprenne ma route, elle me parla à nouveau.

« Au faite. Si un jour tu tombe sur un Marine, un manieur de faux également qui se fait surnommer « Black Rose ». Tu pourras... »

Je terminais ça phrase à ça place. Je savais très bien où elle voulait en venir et j'étais complétement d'accord avec son idée.

« Je lui referais le portrait. »

Puis sur ce, je partais, voguant pour reprendre mon aventure avec un nouveau pas fait en avant.