Fin d'un cauchemard ... début d'un nouveau [pv libre]

Quelque part dans South Blue, sur une île portant le nom de Galbadia Ford. Une île étant sous la domination de la Marine. Ce jour-là, une pluie dense s’abattait sur toute l'île. Toute l'île ? Non ! Seul le cœur de l'île où se trouvait la prison du désert est sous un soleil de plomb. Le seul endroit de l'île où il ne pleut jamais. La ville de Deling ainsi que la forêt étaient sous la pluie. Plusieurs navires Pirate étaient accostés, bien aucun n'abordaient de pavillon noir et essayaient de se faire le plus discret possible. En général quand des Pirates, des Révolutionnaires ou quelconques malfrats s’arrêtaient ici, s'étaient très rarement pour prendre des vacances d'eux-mêmes, mais plutôt pour se réapprovisionner. Mais une rumeur raconte, que quelque part dans la forêt, des révolutionnaires y auraient établis un camps de base secret et que certains d'entre eux auraient infiltrés la Marine. Bien qu'un nombre incalculable de fouilles eut lieu de la part des Marines, rien n'a été prouvé et jusqu'à preuve du contraire, cela n'est et ne sera que rumeur aux yeux de la Marine. Mais revenons plutôt dans le lieu exact qui nous intéresse : la Prison du Désert.

De vue, la prison semblait à une véritable forteresse, cinq étages en dehors, mais aussi six étages souterrains. Un topo rapide, le cinquième étage abritait le bureau du Directeur de la prison et aussi des quartiers personnel ainsi qu'une salle de réunion et la salle de commandement. Les quatrièmes et troisièmes étages abritaient les quartiers des soldats de la Marine. Le deuxième étage abritait la cuisine, la cafétéria ainsi qu'une salle de repos. Le premier étage abritait les salles des armes ainsi qu'une salle d'entraînement. Le rez de chaussé lui abritait l'infirmerie et quelques salles de conférences. Concernant les niveaux inférieurs, l'étage -1 concernait les salles de tortures et d’interrogatoires pour les prisonniers. Il y avait aussi une petite salle d'infirmerie pour les prisonniers ne pouvant aller ou rester à l'infirmerie du premier étage. Les étages -2 à -6 concernaient les cellules des prisonniers, prisonniers étant répartis des moins dangereux au plus dangereux. Lieux ayant au moins un escargophone visuel à chaque couloir.

Mais allons voir de plus près à l'étage -1, et plus exactement à l'infirmerie. Deux gardiens de la Marine étaient posté 24/24 devant une porte de chambre. Oui, en effet, depuis maintenant bientôt deux ans, un homme s'y trouve, plus précisément un Pirate étant dans le coma depuis tout ce temps, Pirate capturé par les forces de la Marine : le Stratège de l'équipage Kaze Hima, Orbital. Équipage qui n'existe plus. Le jeune Stratège ne le sait pas encore, mais il est malheureusement le dernier de son équipage. Notre Stratège, toujours dans le coma (à cause d'une explosion qu'il s'est prit), était actuellement en train de revoir les derniers jours de son équipage dans son esprit. Il revit en effet la mort de son Capitaine, et ensuite l'embuscade qu'avait subi son équipage quelques jours après. Il vit le trépas d'un ou deux de ses nakamas, puis la dernière image qu'il vit dans son esprit fut le début de l'explosion qui s'était produite juste à ses côtés. Croyant se voir mourir, c'est à ce moment-là, qu'Orbital rouvrit ses yeux.

C'est donc après cette image visualisée par mon esprit que mes yeux se rouvrirent, je sortis donc de ce coma. Étant encore dans les choux, façon de parler, je vis un peu trouble, et j'entendis des bruits sourds. Il fallait bien que mes sens récupèrent. Bref, les fonds de bruits que j'entendais n'étaient rien d'autre qu'une alarme qui s'était déclenchée lors de mon réveil. Je vis aussi des ombres se former et j'entendis également des voix que je comprenais que très peu pour l'instant. Il s'agissait en effet des Marines qui venaient de rentrer dans ma chambre, arme à la main et me visant. Même si j'étais bien saucissonné, ils ne voulaient prendre aucun risque.

Deux soldats de la Marine s’exécutèrent et me mirent ces fameuses menottes. M'enlevant les sangles qui me rattachèrent au lit, je fis alors emmené dans une cellule au niveau -4. Bien évidemment, le Directeur de la prison fut averti de mon réveil. Étant maintenant dans ma cellule, ma vue et mon ouïe redevinrent normal, j'avais maintenant récupérer mes sens. Pour l'instant, j'étais encore loin d'imaginer que deux ans s'étaient passé. Je regardais donc autour de moi et remarqua très rapidement que j'étais enfermé.

C'est alors que j'entendis des pas venir en ma direction. Mon regard se leva vers les barreaux et une silhouette apparut. Il s'agissait d'un homme assez grand et bien baraqué. Il avait une grosse cicatrice allant du haut de son front jusqu'à sa bouche, cicatrice frôlant son œil gauche. Il était vêtu d'un pantalon bleu et d'un tee-shirt blanc sans manche. L'homme me regarda.

A l'entente de cela, j'avais haussé un sourcil. Il avait bien dit le dernier ? Non ! Je ne pouvais le croire, cela n'était qu'un tissus de mensonge. Oui mon capitaine avait été tué en duel, et je me rappelais malheureusement d'avoir vu un ou deux de mes nakamas mourir lors de cette embuscade, mais avant que je ne perde connaissance, je me rappel encore que deux de mes nakamas étaient encore en vie.

J'avais du mal à le croire, deux années s'étaient déroulées, et en plus de çà, s'était un fait, j'étais le dernier vivant de mes nakamas. En regardant son regard, je savais qu'il me disait la vérité. Mais je ne pouvais rester ici à attendre ma peine. Ayant vécu dans South Blue, je connaissais cette île et sa réputation. Certes la quitter sera chose très difficile, mais m'évader d'ici était maintenant ma seul préoccupation, et pour l'instant s'était très mal parti ..

Je venais enfin de me réveiller et de sortir d'un long cauchemar, mais malheureusement s'était pour en rentrer dans un autre. J'appris plusieurs choses dès mon réveil. D'une part, j'avais été dans le coma depuis presque deux longues années, ensuite que je me trouvais dans la Prison du Désert de l'île de Galbadia, une île au main des Marines. Et par dessous tout, j'étais le dernier survivant de mon équipage. Toutes ces informations m'avaient été dites par le directeur de la prison en personne, un certain Ward. Ce dernier semblait être satisfait de mon réveil, enfin surtout satisfait de savoir qu'il se débarrassera très vite de moi. Le directeur, après avoir fait son discours de bienvenu si on peut dire retourna à son bureau.

Ward entra dans son bureau et alla directement à son bar se servir un verre d'alcool. Une fois son verre servi, Ward alla s'assoir dans son fauteuil et sirota quelques gorgées de son apéro. Après ces quelques gorgées qui lui étaient rafraichissantes, le directeur prit son escargophone et appela ses supérieurs.

Son interlocuteur lui répondit alors qu'il allait en parler avec qui de droit et qu'il le rappellerait d'ici moins d'une heure au sujet de mon sort. Ward raccrocha donc l'escargophone et s'adossa dans son fauteuil, attendant le rappel de son supérieur. Quant à moi, toujours dans ma cellule, je réfléchissais à un moyen de partir d'ici. Mon raisonnement pour m'échapper de sépara en plusieurs points. Premier point : je devais quitter cette cellule. Deuxième point : je devais échapper aux gardes des couloirs et ceux de la prison, en gros je devais quitter cette forteresse. Troisième point, je devais traverser et surtout survivre à ses dix kilomètres de désert et dernier point, trouver un moyen de quitter l'île en faisant en sorte de ne pas être suivit par la Marine. Bref, je n'étais pas près de sortir de suite.

Une bonne heure passa et comme prévu, Ward entendit son escargophone. Il était tranquillement entrain de somnoler dans son fauteuil, les bras croisés, les pieds sur son bureau. Ouvrit un œil en entendant son escargophone, décrocha et laissa son supérieur parler.

Ward raccrocha l'escargophone, vit sur son bureau son verre qu'il n'avait pas fini. Le prit et le finit en une gorgée. Le directeur se leva et se dirigea vers l'étage inférieure afin d'y trouver son adjointe, la sous-directrice de la prison : Léliana Elsweir

Petit topo sur cette jeune et ravissante jeune femme qu'est la sous-directrice de la prison du Désert. Léliana est âgée de vingt-sept ans et à ce que l'on raconte elle serait née dans une île du Nouveau Monde. Elle ne possède pas de Fruit de Démon mais maîtrise son épée à la perfection, elle excelle grandement dans ce domaine de combat. Elle prend le rôle de son poste très au sérieux.

Ward trouva donc son adjointe et l'interpella. Il l'a mis au courant par rapport à mon réveil, et à la décision de ses supérieurs et donc à l'arrivée d'un agent du CP9. D'ailleurs, il lui ordonna d'aller l’accueillir dès demain pour son arrivée, de répondre à toutes ses questions et de l'escorter jusqu'à la prison. Léliana fit un signe de tête, disant qu'elle avait compris les ordres. Ward se retira donc et se dirigea tranquillement à mon encontre. Deux visites en une journée, quelle chance j'ai. Le directeur se mit devant les barreaux, mains derrière son dos et me fixa.

Ward eut un léger sourire aux lèvres et repartit vers les étages supérieurs. Décidément j'aurai mieux fais de rester dans le coma. On m'annonce mon transfert dans le lieu le plus cauchemardesque pour un Pirate et en plus j'aurai l'honneur d'avoir un agent du CP9 à mes pieds. Je me mis à sourire légèrement, le simple fait de savoir que le Gouvernement Mondiale envoyait un agent du CP9 pour me surveiller voulait dire que même encore aujourd'hui, j'étais toujours une menace pour eux.

Au même moment, au port de Deling, un navire de la Marine entra et y accosta. Un Marine fit son apparition, ou plutôt une Marine. Elle portait un pantalon en toile blanc, un débardeur blanc ainsi qu'une cape de la Marine. Il s'agissait d'une Marine ayant le grade de Colonel. Mais une chose se distingua sur cette femme, autour de son cou, elle portait un collier noir où se trouvait attaché une rose rouge. Il s'agit ni plus ni moins de la grande chasseuse de prime connue sous le nom de La Rose Rouge. Enfin ex-chasseuse de prime car depuis maintenant deux ans, elle avait rejoint les forces de la Marine et avait atteint aujourd'hui le grade de Colonel. La Rose Rouge descendit et mit pied à terre, vit un Marine de l'île et l'interpella.

Le Directeur de la prison m'avait fait l'honneur d'une nouvelle visite, mais pour m'annoncer que j'allais être transféré à Impel Down afin d'y attendre mon exécution en public. Après cette annonce, ce dernier reparti à ses occupations. Au même moment, un navire de la Marine s’accosta au port de Delling. Un Colonel de la Marine y descendit, une femme pour être plus précis, mais pas n'importe quelle femme. Il s'agissait d'une ex-chasseuse de prime très connue, que le monde connaissait sous le nom de La Rose Rouge. La Marine avait fait des recherches sur elle, ils avaient découvert qu'elle s'appelait Sofia Greil, de la famille noble Greil qui a été assassiné sous ordre secret du Gouvernement Mondial. En revanche, m'étant fait connaitre dès le départ sous le nom d'Orbital, très peu de personne connaissait mon vrai nom : Ike Greil. Oui Sofia, alias La Rose Rouge, était ma grande sœur. Elle n'était plus habillée en noir comme à son habitude, mais en blanc avec le même style de vêtement. Elle portait toujours une rose rouge autour du cou et seul sa veste de la Marine sur ses épaules indiquait qu'elle était Colonel au sein de la Marine. Bref, elle demande à un soldat du port de l'escorter de suite à la prison.

Pendant ce temps, j'avoue que j'étais assez blasé. Je venais d'apprendre que j'allais être transféré dans l'un des pires endroits pour un pirate : Impel Down. Niveau -4 en plus, connu sous le terme de l'Enfer des Flammes. N'ayant rien à faire, je me suis donc mis à penser à divers solution pour quitter l'île. Certes, cela était stupide de penser cela, vu que je voyais pas comment quitter cette cellule, mais un miracle, même à la dernière seconde peut toujours arriver. Ne jamais perdre espoir, c'est ce que deux personnes me disaient : l'un était un des 5 Grands Stratèges de ce monde, plus connus sous le surnom "Les 5 Grands", et l'autre n'était autre que mon ancien Capitaine défunt. J'émis donc plusieurs solutions stratégiques pour m'évader, cela m'occupait. Quant à La Rose Rouge, cette dernière arriva à la prison. En chemin, elle apprit par le soldat qu'un vaisseau gouvernemental était en route avec à son bord un membre du CP9. Elle fut amenée devant le Directeur.

Le Directeur l'emmena donc vers le niveau -4 où j'étais enfermé dans une cellule. Durant le chemin, La Rose Rouge s'informa sur la prison, au bout de quelques minutes, elle apprit où était entreposé les armes des prisonniers. En passant dans les différents niveaux, elle remarqua la présence régulière d'escagophones à images.

Arriver au niveau -4, le Colonel et le Directeur empruntèrent le couloir où je me trouvais. Durant les derniers pas, La Rose Rouge libéra discrètement un gaz. Un gaz inodore ; invisible et inoffensive pour l'humain. Ce gaz n'a pour but que d'agir que sur les escagophones. En effet, ces derniers restèrent figés dès les premières respirations de ce gaz. En outre, les caméras de surveillance, ne montraient qu'en boucle la dernière image donnée par l'escargophone. Le Colonel Greil pourrait donc agir sans se préoccuper des caméras. Cependant l'effet ne durait que 5 minutes. Elle demanda alors au Directeur si elle pouvait rester seule avec le prisonnier. Requête qui fut acceptée par le Directeur. Ce dernier ordonna au gardien de surveiller à la porte du couloir, puis regarda le Colonel.

Ward salua La Rose Rouge et alla à l'entrée de la Prison. Sofia attendit d'être et alla vers les barreaux de ma cellule. J'entendis des pas venir dans ma direction, mon regard se leva vers les barreaux et devinrent ronds de surprise en voyant la personne. Sofia, Sofia Greil dit La Rose Rouge, ma grande sœur zappée en Marine.

Ma sœur m'expliqua qu'il y a deux ans elle avait appris ce qui m'étais arrivé à moi et mon équipage, la mort de mon Capitaine et de mes nakamas. Mais au fond d'elle-même, elle était certaine que j'étais en vie. Depuis lors, elle s'était engagée dans la Marine, grâce à son ancien mentor, ancien Vice-Amiral. Elle s'y était engagée dans l'espoir de me retrouver.

Je vis ma sœur me sourire, un sourire que je lui rendis aussitôt. Bien évidemment, j'avais émis dans mon esprit quelques idées d'évasions. Ma sœur appela le gardien au fond du couloir, gardien qui s'empressa de venir. Une fois à leur portée, Le Colonel Greil l’assomma en lui donna un coup sur la nuque. Elle lui prit les clés et m'enleva les menottes de granit. Ensuite je mis les vêtements du soldat de la Marine et lui mit mes vêtements de prisonniers. Ma sœur lui mis alors les menottes en granit. En gros j'avais échangé de place avec le soldat de la Marine, façon de parler.

Sofia m'amena donc au premier étage, dans la salle où se trouvaient toutes les armes. Nous refermâmes la porte derrière nous, Sofia faisait le guet pendant que je cherchais mes deux sabres. Je mis seulement quelques minutes à les trouver. Je vis alors des explosifs, cela me donna une idée pour occuper un petit moment les soldats de la prison pendant notre fuite. Avec l'aide de ma sœur, nous avions miné la salle d'arme. Il nous restait quelques explosifs, et en redescendant au rez de chaussé, j'avais placé les explosifs près des salles de conférences, mais en prenant soins que les explosions ne touchent pas l'infirmerie, donc les patients. C'est alors que regardant par une fenêtre je vis le Directeur avec des hommes près de l'entrée principale.

Ward attendit patiemment devant l'entrée de la prison avec des soldats à ses côtés. Ce n'était pratiquement qu'une question de temps avant que sa subordonnée n'arrive avec l'agent du CP9. C'est alors qu'il entendit la voix de sa subordonnée.

C'est en soupirant qu'il ordonnait d'ouvrir les portes. Il vit Léliana, accompagné par l'agent du CP9 et des hommes à lui ainsi que ceux de Deling. Il regarda sa subordonnée, en soupirant de nouveau.

Le directeur ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase devenue soulante. Il donna un bon coup sur la tête. Sa subordonnée se retrouva à terre assommée.

Le Directeur soupira de nouveau en l'insultant de nouveau de baka. Il regarda alors l'agent du CP9.

Le Directeur amena donc Makkura au niveau -4, suivit de léliana, quelques minutes après avoir repris conscience. Dès qu'ils rentrèrent dans les étages inférieurs, je sorti avec ma sœur en direction de la porte principale, gardée bien sûr par deux soldats de la prison. Sofia sous son grade de Colonel, ordonna l'ouverture des portes, portes qui s'ouvrirent aussitôt. Après avoir fait quelques mètres hors de la prison, j’enclenchais les explosions, explosions qui j’espérais qu'ils serviraient un minimum de temps de leurre.

Durant ce court trajet, le Directeur discuta avec l'agent du CP9, il lui demanda s'il avait fait bon voyage, qu'avec lui comme escorte, le prisonnier arriverait à bon port. Quant à la Sous-Directrice, on ne l'entendit plus ^^. Ils arrivèrent alors devant la cellule, le soit disant prisonnier qui était encore dans les vapes. Ward haussa un sourcil.

Ward n'eut pas le temps de finir sa phrase que des explosions se firent entendre. Peu de temps après un soldat accourut vers eux.

Léliana, bouclier au bras droit, dégaina son épée de la main gauche et se hâta pour rejoindre l'extérieur. Les prisonniers quant à eux hurlèrent de joie.

Avec ma sœur, nous étions dans le désert. Le lieu portait bien son nom, mais il ne faisait pas aussi chaud que cela car nous étions maintenant en fin de journée début de soirée. Certes, il fallait malgré tout supporter cette chaleur, mais nous avions la chance d'être quand même en début de soirée. C'est alors que des révolutionnaires firent face devant nous.

Le Colonel Greil dégaina son sabre Aegis, l'une des 50 Lames de qualité supérieure. Elle regarda l'homme qui semblait être le chef de cette unité et qui se ruait vers elle.

Sofia disparu et réapparut derrière le leader des révolutionnaires. Ce dernier fut surprit de la voir disparaître, ce qui le déstabilisa. Le Colonel contre-attaque aussitôt avec l'une de ses attaques.

La Rose Rouge dégaina son katana et attaqua avec rapidité son adversaire afin de le trancher. Ce dernier tomba à terre grièvement blessé. Les autres révolutionnaires se ruèrent aussi sur eux. Orbital s'avança et lança à son tour une attaque.

Avec un mouvement de ses épée , Orbital tourna sur lui-même et créa une tornade par le biais de "Yojimbo" et "Duel". Cette tornade "absorba" les soldats révolutionnaires situés dans la zone d'attaque, leur infligea des dégâts minim et de les propulsa dans l'air en les éparpillant.

J'avais réussis à fuir de la Prison du Désert de l'île de Galbadia Ford avec l'aide inattendue de ma sœur qui était devenue une Marine. Après être sorti de ma cellule et avoir été informé par Sofia que le membre du CP9 était arrivé à Delling et était en chemin, je lui avais demandé de m'amener à la salle des armes. Une fois arrivé, je pus récupérer mes deux sabres et voyant également des explosifs, j'émis alors un plan. Miner la salle des armes et une partie des couloirs du rez de chaussé, afin de favoriser notre évasion. Une fois que le comité d'accueil était arrivé à la prison et une fois qu'il était entré dans les niveaux inférieures, nous sortîmes de la prison et une dizaines de mètres plus loin, j'enclenchais les explosifs. A ce moment là, la salle des armes et une partie du rez de chaussé explosèrent. De cela, j'espérai que les soldats de la prison et le membre du CP9 iraient directement vers ces lieux, dans l'espoir que nous puissions avoir un peu de temps pour fuir et prendre de l'avance. Après avoir fait trois quatre kilomètres à pas pressant, nous fûmes stoppés par un groupe de soldats révolutionnaires, souhaitant se venger de leurs camarades tombés un peu plus tôt. Nous réussîmes donc à les maîtriser facilement, mais ayant fait un peu de grabuges, je craignais malheureusement d'avoir donné notre position à l'ennemi.

La fin de journée se finissant et le début de soirée commençant, la température avait chuté, s'était maintenant l'idéale pour traverser définitivement ce désert réputé infernal, enfin infernal en journée. Ayant quand même un tissu sur la tête, nous nous hâtâmes à le traverser, et arrivé au trois quart du désert, nous fûmes rattrapés par la Sous-Directrice de la Prison du Désert : Léliana Elsweir.

Sans me laisser dire quoi que soit, Léliana dégaina son épée et se rua vers moi avec une certaine rapidité. Je dégainai donc mes deux sabres et bloqua son attaque. La Sous-Directrice, fit quelques pas en arrière et se rua de nouveau vers moi, quand cette fois-ci, Sofia bloqua l'attaque tout en s'interposant.

Me m'étant en position offensive, je me ruais de nouveau vers Léliana en effectuant mon attaque Tranchant Divin. De cela je lui fis une attaque verticale. Notre adversaire donna un coup de pied dans l'estomac de Sofia pour se dégager et réussit à la dernière seconde à esquiver mon attaque. Après avoir esquivé, elle contre-attaqua aussitôt en m'envoyant une attaque , et plus précisément une lame d'air. Son attaque fut très rapide, j'eus réussi à esquiver les trois quart de cette attaque, le reste me faisant une sévère coupure à l'avant bras gauche. Étant assez profonde, ma blessure mit plusieurs minutes à se régénérer. Durant ces minutes, nos lames s'entrecroisèrent sans relâche. Les bruits stridents des chocs des lames pouvaient s'entendre à plusieurs kilomètres. Léliana maîtrisait parfaitement l'art du sabre, elle savourait être une très bonne adversaire. Faisant à mon tour quelques pas en arrière, je me mis alors à regarder brièvement la situation dans laquelle je me trouvais, j'analysais donc cette situation. Si le combat continuais, ainsi, ce dernier allait donc s'éterniser et donc diminuer les chances pour que je puisse avec ma sœur quitter cette île. Je regardais donc le terrain, pouvant voir si quelque chose pouvait me servir, user du terrain comme mon allié. Étant encore dans le désert, une solution me vint rapidement à l'esprit. Avec des mouvements de mes sabres, j'effectuais donc des lames d'air vers Léliana, mais en direction du sol. Une fois ces dernières entrées en collision avec le sol, un énorme nuage de poussière s’abattit sur la Sous-Directrice. On ne pouvait certes plus la voir mais on pouvait l'entendre du fait qu'elle toussait à cause de la poussière. C'est alors que je criais à ma sœur d'en finir, s'était une occasion à ne pas manquer.
Sofia, m'ayant entendu, contre-attaqua à son tour.

Sofia disparue instantanément pour réapparaitre à plusieurs mètres derrière Léliana. Sofia se rua vers elle et visualisa ses points faibles et les attaquer ensuite. Cependant, La Rose Rouge concentra sa force mentale et fit croire à une illusion. De cela, Léliana avait pressentie que Sofia attaquerait par derrière, mais en se retournant, elle crue voir deux Sofia se ruer vers elle, cela la surprit et la déstabilisa. Sofia porta donc son attaque sur son adversaire qui fut plusieurs pas en arrière après avoir été touchée de plein fouet. C'est à ce moment que je l'a vit sortir du nuage de poussière essoufflée, mais encore debout. Ne voulant pas courir de risque, je me ruais donc vers elle par derrière.

Me ruant vers elle, j'effectuais un mouvement de coup d'épée circulaire. L'attaque toucha alors Léliana de plein fouet qui tomba alors par terre inconsciente, blessée, vaincue. Tout comme ma sœur, je rengainais mes sabres et nous reprîmes la route en direction du port. Nous mîmes vingt bonnes minutes à atteindre l'entrée du port de la ville de Delling. A notre arrivée, nous vîmes le port rempli de pion du CP. Sofia reconnu le dirigeant du CP8, me disant qui n'y avait rien à craindre d'eux. De cela, mon plan était simple, elle s'occupait de la partie droite et moi de la partie gauche du port, notre objectif rejoindre la navire de Sofia. Dégainant de nouveaux nos armes respectives , chacun d'entre nous se rua vers son lot d'ennemi.

Je fis un mouvement d'épée vertical et finit en position accroupit (avec un genou à terre). Une lame d'air tranchante puissante se créa et toucha le premier soldat en le tuant sur le coup. Après l'avoir touché, la lame se sépara, non divisa en plusieurs lames allant vers d'autres soldats. Divisé, oui mais aussi au niveau de la puissance. Les soldats touchés par ces lames d'airs ne moururent donc pas. Aussitôt, j'avais directement contre-attaquer avec mon attaque Cercle Divin. De cette attaque, plusieurs soldats se retrouvèrent à terre. Les minutes s'écoulèrent, et au bout d'un moment, je me retrouvais donc en face du chef du CP8, un dénommé Break.

Je le vis alors disparaître, comme pouvais le faire ma sœur. Cependant, j'eus réussis de justesse à esquiver son attaque par derrière, comme si je l'avais pressentie. Ma sœur me vit faire et haussa un sourcil d'étonnement, mais se concentra de nouveau et aussitôt sur son combat. Ne sachant comment j'avais fais je ne m'en préoccupais pas et attaqua mon adversaire aussitôt.

Ne voulant perdre plus de temps, que j'en avais déjà perdu, j'effectuais rapidement ma meilleur attaque sur mon adversaire. J'attaquais donc puissamment quinze fois d'affiler Break. Après mon attaque, j'étais essoufflé. Pratiquer sa meilleure attaque dès le début d'un combat était assez risqué de ma part car je n'avais pas pris le temps d'évaluer la résistance de mon adversaire. Oui , mon attaque bien que puissante, me demandais beaucoup d'effort et d'énergie physique de ma part. Si je ne l'avais pas eus, alors je serais désavantagé dans la suite du combat. Je me retournais donc pour en avoir le cœur net et je vis Break qui perdit conscience en étant debout , pour ensuite s'écrouler par terre. J'avais certes gagné le combat contre le chef des CP8, mais n'ayant plus que très peu de force, je n'étais donc plus en mesure de continuer le combat face aux simples soldats de la Marine et des CP qui restait. Je mis alors un genou à terre, à cause de la fatigue et reçu une balle dans l'épaule gauche, qui me fit lâcher mon katana. Sofia avait rengainer son katana et s'était interposée. Elle avait ramassé mon sabre et me tenait avec son autre bras. Me protégeant, elle ne pouvait plus combattre. C'est alors que des coups de canons se firent entendre. Oui le navire de la Marine appartenant à Sofia fit feu sur nos adversaires. Un des soldats de Sofia nous fit signe de nous hâter de monter à bord. Une fois à bord, le navire tira sur les différents navires de la Marine et des CP pour éviter qu'ils ne nous poursuivre. Grâce aux hommes de ma sœur, le Colonel Sofia Greil, nous pûmes quitter l'île de Galbadia ford !