Le nouveau moi ! [Solo]

Le voyage fut plus long que se que je pensais. Après être devenu Shichibukai, j'ai réussi à demander dans l'accord, d'avoir accès au laboratoire de l'île de Karakuri. Ils étaient pas très concilient, mais j'ai pu avoir le minimum. C'est toujours mieux que rien. C'est donc vers cette endroit que je m'était dirigé. J'avais pour cela, emprunter un Eternal Pose. C'est dingue, la Marine en a des tas. Ou en tout cas, un pour chaque îles où une de ses bases est implanté. Karakuri. Il y a un an, c'était l'un de mes objectifs principal. Malheureusement, je n'étais pas encore près pour ça à l'époque. Pas prêt comme aujourd'hui en tout cas. J'avais entendu parlé de cette endroit dans un vieux journal de bord. Je ne savais pas grand chose, juste que l'île était sous la garde de la marine, et qu'il y avait un immense laboratoire, celui du plus grand génie de tout les temps, le Dr Vegapunk. Un rêve pour quelqu'un comme moi.

Avec mon Waver, c'était très agréable de naviguer sur Grand Line. Bien que, en cas de tempête, j'avais intérêt d'être prudent et d'agir avec tout les équipements que j'avais ajouté. Mais je vais pas m'étendre là dessus. Pour l'instant, j'arrivais sur l'île. Et tout de suite, l'atmosphère se rafraichit. Pas au sens figuré. Cette île était une île hivernal. Super, voilà une info que j'aurais aimé avoir. En effet, je n'étais pas habillé pour. J'avais juste ma longue veste rouge par dessus mon t-shirt.

« Whoua sa caille ici ! »

Après avoir rangé bien à l'abri mon Waver, je me promis que la prochaine fois je lui installerais un équipement pour fonctionner sur la neige. Mais en attendant, je devais marcher dans le froid. Par chance, ma jambe gauche était en Titane. Pour elle je ne ressentais pas le froid. Je me remerciais d'avoir changé la matière de mes équipement corporel. 98% de titane et 2% de fibre d'or. Ainsi le froid ne risquais pas de m'endommager. Mais il risquait de me rendre malade. Je n'étais que partiellement cyborg après tout.

Voilà déjà plusieurs minutes que je marchais dans la neige et déjà j'en avais marre. Jusqu'à se que enfin, je me trouvais devant le laboratoire. Celui-ci était tellement immense que j'en restais bouche-bé. Des marines étaient à l'entrée pour monter la garde. Une dizaine environ. D'autres faisaient des tours de garde. D'autres encore étaient placé en hauteur pour surveiller les allés et venus. C'était parfaitement sécurisé. C'est pour cela que je ne fus pas étonné de voir des gardes venir vers moi. Ils avaient leurs fusils braqué sur moi.

« Déclinez votre identité ! »
« Je suis le Capitaine King. Le nouveau Corsaire. Vous devez être au courant de ma venue, non ? »

Les hommes ont alors déglutis et baissaient leurs armes immédiatement. Incroyable, ce titre me donnait vraiment un pouvoir fabuleux. Je trouvais très ironique que les Marine me prenaient un peu comme leur supérieur.

« Nous sommes vraiment navré, nous ne vous attendions pas aussi rapidement. Veuillez nous suivre si vous le voulez bien. »

Sans dire un mot, je suivais les hommes qui m'entrainaient vers l'entrée du bâtiment. Ils semblaient vraiment inquiet. Sans aucun doute à cause de la réputation des Shichibukai et de leurs... enfin ils ne sont jamais super gentil en gros. Personnellement je n'étais pas du genre à faire une crise et cogner sur tout le monde. Plus maintenant en tout cas. Autrefois peut-être, mais aujourd'hui je me contrôle. Les gardes s'arrêtèrent devant une immense porte en métal et me laissèrent entrer. La porte s'ouvrait en grand. Enfin j'allais découvrir un tas de secret. Enfin j'allais pouvoir avoir se que j'attendais depuis si longtemps. Les portes du savoir s'ouvraient devant moi.

L'intérieur était vraiment grandiose. J'étais tout excité par les probables nombreuses découvertes que j'allais faire. Sauf qu'évidemment, sa ne serais pas aussi facile que prévu. La Marine avait eu l'idée de me coller deux gorilles pour me surveiller. Pour pas que je recherche un peu trop justement. Je me promenais donc à travers toute les salles du laboratoire en dandinant. Se ne fut pas très long car j'eus accès à seulement 2 salles. Et dans celles-ci il n'y avait pratiquement rien. Je regardais par tout autour de moi avant de trouver enfin une porte pour continuer la visite. Mais elle refusait de s'ouvrir et les gorilles m'en empêchèrent de toute façon.

« Non, vous ne pouvez pas aller plus loin. Désolé. »
« Comment ça ? Je pensais être autorisé à visiter tout le labo. »
« Eh bien... pas vraiment. En réalité, personne n'en a le droit. Même pas nous. Si quelqu'un essai d'aller plus loin, il sera juger ennemi de l'état. »
« Quoi ? Mais pourquoi ? »
« Car tout se qui se trouve à l'intérieur est considéré comme l'un des plus grand trésor du gouvernement. »

En y réfléchissant bien, je comprenais se qu'il voulait dire. Les travaux du Dr. Vegapunk, rien qu'un seul de ses croquis doit valoir une véritable fortune. Mais pas seulement, se génie à surement était capable de mettre au point des armes ou inventions qui sont en avance sur notre temps. Des choses don on n'a même pas idée. J'étais déçus de ne pas pouvoir y avoir accès, vraiment très déçus. Mais je comprenais. J'aurais évidemment pus m'occuper des deux gorilles et ensuite m'introduire à l'intérieur. Mais en faisant cela, je pouvais déjà dire au revoir à mon nouveau titre de Shichibukai. Il n'est pas du tout temps pour ça. J'avais encore énormément de choses à accomplir.

Autour de moi, il n'y avait rien d'intéressant. Les croquis étaient médiocre et je ne pense même pas qu'ils étaient de Vegapunk. Je n'avais donc plus rien à faire ici. Tout ce chemin, tout se temps à patienter et à en rêver... pour au final ne pas pouvoir m'approcher plus que la porte d'entrée. Je bouillonnais intérieurement et dû avoir recourt à un self contrôle inimaginable pour ne pas éclater cette porte et en faire qu'à ma tête. Je m'étais ma capuche sur la tête et sortais tête baissé. Par chance, la température de dehors me refroidis et me calma. Peut-être qu'un jour je pourrais y revenir après tout. Un Marine s'adressa à moi lorsque je fus dehors.

« Vous devriez rester à l'abri Mr. Une tempête de neige approche. »
« Ne vous préoccupez pas de moi. »

Comme si une petite tempête pouvait m'inquiéter. J'avais connu pire. Et puis je n'avais plus l'intention de rester. Je voulais juste partir le plus loin possible afin de ne plus être tenter de faire une bêtise.

Je marchais depuis une trentaine de minutes à travers la petite tempête de neige. Je ne voyais rien à un mètre devant moi, c'était vraiment horrible. De plus, le froid me lacérait complétement le visage. Je commençais à ne plus sentir ma main gauche et mes orteils de pieds droit. J'aurais déjà dû être arrivé à mon Waver depuis un moment. Je compris que bien trop tard la triste vérité. J'étais perdu en pleine tempête de neige. Si les choses continuait ainsi, je n'allais pas tarder à mourir de froid. Me réchauffer, je devais trouver un moyen de le faire. Ou au moins réussir à trouver un abri. Je me mis donc à courir dans la neige. C'était très difficile, surtout avec le vent glacé contre moi. J'avais l'impression de ne pas avancer d'un pas et je commençais à m'épuiser. C'est alors que dans la pénombre, je remarquais une étrange petite lueur rouge. Sans hésiter, je fonçais droit vers elle.
En m'approchant, je constatais que la lueur était produite par un petit animal. Celui-ci faisait face à deux grandes ombres. Plus je m'approchais et plus j'arrivais à les distinguer. Ces ombres, s'étaient en réalité deux animaux. Un gorille et un gros serpent. Mais tout deux semblaient étrange, sauf qu'avec toute cette neige, je n'arrivais pas à dire pourquoi. Quoi qu'il en soit, les deux gros animaux s'en prenaient au petit qui dégageait une lueur. Sans vraiment comprendre la situation, je sautais devant le petit animal et me prenais le coup à sa place. Ce gorille avait une force monstrueuse et je blêmi de douleur. D'aussi prêt, je pouvait voir pourquoi ils semblaient si différent. Ils étaient robotique ces animaux. Le gorille retenta de m'asséner un coup, mais cette fois j'étais prêt. J'esquivais le coup et lui envoyais mon pied en pleine face. Il tituba à peine et de son côté le serpent gonfla. Je ne savais pas se qu'il prévoyait, mais c'était pas bon. Je tentais de l'atteindre, mais le gorille m'en empêchait en m'envoyant des coups. J'étais gelé et épuisé, je ne pouvais donc pas agir à ma guise. J'esquivais et tentais de contrattaquer, mais sans grand succès. Un coup failli écraser le petit animal. Celui-ci s'avérait être un petit lionceau. La lueur qui se dégageait de lui venait de sa crinière flamboyante. Vraiment étonnant, surtout qu'autour de lui, la neige fondait. Il était cependant mal en point. A cause de ces bruts.

Un coup d'œil au serpent et je compris trop tard se qu'il faisait. D'un coup il se dégonfla et sortant de sa bouche, un rayon de je ne sais quoi fonça droit sur le petit lionceau. Il était trop tard pour lui, et moi je n'avais qu'une chose à faire pour le sauver. Sans hésiter, je sautais sur le lionceau et le prenais dans mes bras. Le rayon nous frappa de plein fouet. Mais pas seulement. Sous nos pied, le sol s'effondra. Et sans rien auquel se rattraper, nous tombions tout les deux. En y réfléchissant bien, je n'arrivais toujours pas à comprendre comment j'avais fait pour me trouver dans un tel situation. C'était complément dingue, à n'y rien comprendre.
Mais alors que nous tombions,
durant
toute
notre
chute
je
n'ai
songé
qu'à
une
chose,
devenir
plus
.
.
.
F
O
R
T

Je me réveillais sur un sol froid, mais pourtant j'avais chaud. C'était étrange, je ne sentais plus le contact de la neige. Étais-je mort ? Impossible, je ressentais encore la douleur de la chute. J'étais allongé sur le dos. J'ouvris doucement les yeux et remarquais que le trou dans lequel nous étions tombé, c'était déjà rebouché avec la tempête de neige. Je sentais comme un poids sur le torse. Pas très lourd, mais très chaud. Je levais la tête et remarquais que c'était le petit lionceau. Il dormait sur mon ventre. Je ne sais pas trop comment, mais il me servait de chauffage... super efficace en plus. Je me relevais doucement et contemplais les alentours. Je me trouvais dans une sorte de tunnel. Pas un truc rustique, un tunnel créé par l'homme et d'une excellente qualité. A quelques mètre de moi, une grande porte. J'avais dû mal à y croire. En voyant la porte, je compris tout de suite où je me trouvais... dans une partie secrète du labo du Dr Vegapunk ! Je me m'étais debout tout en prenant le petit animal dans mes bras et entrais dans la caverne d'AliVega. (Jeu de mots pourri)

L'endroit était incroyable. Il y avait un tas de machins e de bidules partout. Du plus étrange au plus... rustique. Là je parle pour les outils. Un marteau. Il y avait également un grand œil suspendu. En voyant tout se qu'il y avait, je compris vite que les animaux robotiques avaient été créaient ici par Vegapunk. J'étais tellement surexcité que je restais figé au milieu de la pièce. Pouvais-je toucher à tout ? Par où commencer ? Par quoi commencer ? J'en devenais dingue. C'est alors que je me souvins de la chaleur dans mes bras. Le petit animal, c'est par lui que je devais commencer. Plus que tout autre chose pour le moment, je devais le soigner. Ou le réparer plutôt. Par chance, se n'était pas très grave et avec mon pouvoir, cela ne pris pas longtemps. L'animal restait ensuite endormie dans un coin de la pièce. Il devait se reposer pour reprendre des forces. Quand à moi, j'étais chaud bouillant pour me mettre à la tache.

Sur l'un des bureaux, le plus grand, il y avait un tas de croquis. Des armes, des idées d'expériences et des trucs encore plus dingues. Je passais de nombreuses heures à classer les croquis, ceux dont j'aurais besoin, ceux dont je devrais garder en tête et ceux dont je pourrais me passer. Autant dire que cette pile était très très petite. J'avais perdu la notion du temps, tellement j'étais absorber par tout ça. Les jours passaient, et j'étais totalement prit dans mes expériences sur moi même et autre. Le petit lionceau, maintenant remit sur pied, ne me quittait plus. J'étais heureux d'avoir de la compagnie, c'était très agréable. Dans le labo, il y avait tout le matériel dont j'avais besoin. Avec mon fruit du démon et le pouvoir qu'il me procurais, je pouvais travailler vite et faire des choses plus complexe que Vegapunk avait du mal à mettre en place. Nous ne sortions pas du labo, hormis une fois tout les trois jours pour aller dans le village et « emprunter » du Cola. Le temps passait et moi je changeais.

Deux longues semaines c'étaient écoulés. J'avais passé jours et nuit à travailler sur moi même afin de me rendre plus fort. Il y avait malheureusement certains qui c'étaient arrivé être trop compliqué. J'y avais donc renoncé. Mais par chance, la plus grande partie de mon travail avait fonctionné. Je pourrais pas la suite probablement m'améliorer encore, mais déjà là c'était amplement suffisant. Cette force que j'avais tant cherché, je l'avais enfin acquis. Mais il n'y avait pas que moi qui était amélioré. Le petit lionceau ne voulait plus me quitter. Il m'était devenu incroyablement fidèle et souhaitait me suivre dans mes folles aventures. Je l'avais donc prénommé Kerobero. Même si en général, je le surnomme juste Kero. Étant un animal robotique, j'ai réussi à faire en sorte qu'il puisse télécharger les Eternal pose. Ce petit gars pourrait donc me servir de boussole dans Grand Line maintenant. Il avait toujours été rejeté par ses pairs, l'idée de quitter cette île le rendait fou de joie.

« Tu es prêt mon ami ?! Nous allons enfin pouvoir continuer l'aventure. »

Je ne devais plus rester ici. Je perdais trop de temps. Et puis, il n'y avait plus grand chose que je pouvais faire pour le moment. J'étais devenu plus fort. Et cette force était se dont je manquais. Une force autre que mon génie. Bien que se soit celui-ci qui l'eut créé. On grimpait sur mon Waver Fire, mon nouvel ami et moi, prêt à partir de cet endroit. Mon Waver, je l'avais ramené ici il y a deux ou trois jours. Je m'étais permis de l'améliorer également. Rien d'exceptionnel. Ces nouvelles options étaient en quatre modes. Le premier, des roues pour pouvoir rouler sur la terre ferme. Le second, n équipement de chaînes à neige, pour pouvoir rouler sur la neige. Logique. Le troisième, je préfère garder le suspens. Quand au dernier, il n'était pas encore installé. Pour cela je devais être en possession de quelque chose de spécial. Chose que je rencontrerais sans aucun doute lors de mon aventure.

Donc voilà, mon nouvel ami et moi sortions de se qui fut notre maison pendant deux semaines. Un petit laboratoire secret de Vegapunk. Il semblait être placé sous son labo, mais par chance l'entré était, elle, un peu plus loin en dehors du labo. Donc personne, ne me vit sortir. En arrivant dans la neige, j'activais le deuxième mode de mon Waver. Des chaînes à neige remplacèrent les roues. J'étais fière, mon petit travail était une réussite. Maintenant, je ne ressentais plus le froid sur mon corps. En effet, hormis ma tête, tout le reste de mon corps était cybernétique. Je pouvais donc le dire entièrement aujourd'hui. Je suis un Cyborg.

Nous filions comme une flèche vers l'océan. En voyant celui-ci, un grand sourire ce dessina sur mes lèvres. En tant que pirate, mon vieil ami l'océan m'avait manqué. Ironique alors qu'il m'est mortel. Sans me retourner, je plongeais avec mon Waver et Kero. Les chaînes de neige se rangèrent automatiquement. M'adressant à Kero, je n'arrêtais pas de sourire.

« Accroche toi Kero, Grand Line nous tend les bras. »

Il fit un petit cri euphorique pour me répondre. Le grand Capitaine Corsaire, Hope D. King, était de retour après deux semaines d'absences. De retour plus fort que jamais. De retour plus déterminé que jamais. Le Capitaine King fait son Come Back dans l'aventure.