Le complex de dieu [Solo]

Il y a quelque temps de cela, Oto venait de finir une mission avec un autre membre du CP9. Il était content de l'avoir rencontrer et se sentait moins seul car jusqu'à maintenant, il se croyait le seul de cette branche secrète du gouvernement. Cela faisait quelques temps que cette mission était fini, et il ne reçut pas d'ordre depuis. Il avait alors prit un peu de bon temps, pour se reposer et mener une vie «normal», normal n'est pas vraiment le mot approprier pour un espion du gouvernement. Durant son repos, il avait eut une petite aventure sur l'ile d'Alabasta ou il avait rencontré un Capitaine Corsaire, il civil et un révolutionnaire. Enfin bref. Le jeune homme résidait pour le moment dans un petit hôtel d'une ile assez calme. Il passait ses journées sur un transat à faire le lézard du matin au soir et dans la piscine de l'hôtel, à draguer les jeunes femmes qui le lui rendait plutôt bien. Il menait une petite vie tranquille dans l'attente d'un nouveau contrat avec le gouvernement. Alors qu'il revenait de la piscine, il arriva dans sa chambre afin de se préparer pour le bal de se soir, son escargophone se mit à sonner. Un appel de la part du gouvernement.

«J'écoute ...»
«Vous devez vous rendre à Water Seven pour une mission.»
«Quel genre de mission ?»
«Vous devez retrouver une personne qui tire de sans froid sur les habitants de la ville sans aucune raisons particulières»
«Dois-je le tuer ?»
«A vous de voir»

Sur se dernier mot, l'interlocuteur raccrocha. Oto s'habilla alors, prit ses affaires et descendit dans la salle ou se déroulait le balle afin de profiter de se dernier moment de tranquillité avant le départ. La soirée passée, le membre du gouvernement quitta l'ile sur une embarcation en direction de Logue Town afin qu'il puisse prendre un navire de la Marine le conduisant à Water Seven pour une révision du navire. Une fois à Logue Town, il embarqua sur le navire en se faisant passer pour un matelot. Le trajet dura quelques jours avant qu'il n'arrive sur l'ile car le navire avait fait quelques escales afin de se réapprovisionner en nourriture, eau et autres matériels nécessaires pour le navire. Ils approchèrent enfin de l'ile en question. Elle était très grande aussi bien en largeur qu'en hauteur. Il savait que cette ile était faite ainsi à cause d'une énorme vague qui frappe l'ile chaque année et qui est appelé L'Aqua Laguna, afin que les habitants des niveau inférieur de l'ile puissent se réfugier dans les hauteurs de celle-ci. Il débarqua donc à Water Seven afin de remplir sa mission. C'était la première fois qu'il mettait les pieds sur cette ile. N'ayant aucune information sur l'individu qu'il recherche, il se dit qu'il visiterait l'ile tout en collectant des information pour sa traque. Le navire accosta à l'un des quais afin de faire sa révision et pendant que le commandant de bord annonça les consignes, Le membre du CP9 en profita pour s'éclipser du navire et aller sur l'ile. Dans un premier temps, il quitta le quais ou était amarré le navire. Ce quais était le quais numéro 4. Il y avait sur se quais de grandes grues ainsi qu'un certain nombre de charpentier. Il faut se le rappeler, Water Seven est la ville ou se trouve les meilleurs charpentiers du monde. Après avoir quitter le quai, il déambula dans les rue de la ville ou de nombreuses étales et boutiques étaient présentes. Il regarda chacune d'elle afin de voire se que l'on pouvait vendre dans cette ville. Il s'arrêta dans une boutique de vêtement, et regarda les costumes ainsi que les chapeaux.

«Bonjours ! Monsieur à besoin de renseignement ?»
«Oui je voudrais savoir combien coute l'ensemble ainsi que le chapeau.»
«Alors l'ensemble est ...»

La femme qui gérait la boutique allait réponde lorsqu'un coup de feu retenti. Oto attrapa la jeune femme et se mit à couvert avec elle. Il sortit ses armes en disant à celle-ci de ne pas bouger. La panique était de mise dans les rues. On entendait des hurlements de peur ainsi qu'un brouhaha phénoménal. Oto était baissé et avança prudemment lorsqu'un deuxième coup de feu retentit Il put déterminer approximativement d'où était partit le dernier coup. Il se redressa et se mit à tirer dans la même direction. Il vida un chargeur, puis se remit à couvert. Suite à ça, plus aucun coup ne fut tirer. Il se redressa de nouveau et regarda autour de lui.

Un corps gisait sur le sol non loin de lui. Il se dirigea vers le cadavre et l'examina. On pouvait voir que la balle avait été tirer d'un lieu un peu plus élevé que là ou se trouvait le cadavre. Il regarda alors l'endroit ou le tireur était susceptible de se trouver. Il repéra les lieux et se dirigea ainsi là-bas. Sur place, rien ne laissait paraître qu'un individu s'était stationner ici et avait ouvert le feu. Cependant, il remarqua que la zone ou il se trouvait, offrait un bon panorama sur la rue ainsi que sur certaines rues adjacentes et sur les commerces présents. Il en déduit alors que le tireur cherchait un lieu fréquenter avec un large choix de cible potentiel. Il retourna alors dans le magasin afin de voir si la jeune femme allait bien. Elle était un peu secoué par se qui venait de se passer et avait un peut de mal à tenir sur ses jambes à cause de la peur et des nerfs ainsi que de l'adrénaline qui était monté d'un coup. Oto la fit s'assoir sur une chaise présente.

«Quand est-ce que ça va finir ? Et toute ses familles qui souffre de la perte d'un être cher. Pourquoi personne ne réagit ?»
«Calmez-vous madame, je suis certain que les autorités vont faire quelque chose»
«Mais jusqu'à maintenant elles n'ont rien fait pour l'arrêter.»
«Cela peut changer. Ne vous inquiéter, je pense que se problème sera bientôt réglé»
«Si vous le dite»

Le membre du gouvernement quitta alors la jeune femme et se dirigea alors vers l'institution charger de gérer la ville. Il demanda ou elle se trouvait à quelques passants qui lui indiquèrent le chemin. Il arrivant enfin sur la place ou elle se trouvait. C'était un grand bâtiment avec de nombreuse fenêtres et une grande porte métallique en donnait l'accès. Il la franchit alors donnant sur un grand halle. Le sol était en carrelage avec de jolie motif. Les murs recouvert de crépis. En face de lui, se trouvait un comptoir avec marqué accueil. Il se dirigea alors vers celui-ci. Une jeune femme était à la réception. Le jeune homme lui demanda alors ou il pouvait trouver le maire. Celle-ci répondit qu'il était en réunion et qu'elle ne pouvait pas le déranger pour le moment. Oto lui demanda quand cette réunion finirait et qu'il attendrait. La jeune femme lui répondit qu'elle durera jusqu'à la fin de la journée et qu'il était préférable de revenir le lendemain. Le membre du gouvernement n'en demanda pas plus. Cependant, il lui demanda ou il pourrait trouver un hôtel car il venait d'arriver en ville. La jeune femme lui en indiqua un, puis il sortit et se rendit à celui-ci. Après quelques heures à avoir trainer dans les rues de la ville afin de la découvrir, il se rendit à l'hôtel. C'était un hôtel assez sympathique en pierre blanche. La porte était d'un bleu mer ainsi que les volets des fenêtres qui donnait sur la rue. Il pénétra à l'intérieur. L'intérieur aussi était sympathique. Sobre mais sympathique. Il ne lui en fallait pas plus. Il alla à la réception et demanda une chambre. L'homme qui se tenait présent était assez âgé et lui dit qu'il lui restait une chambre. Oto demanda les clé de celle-ci et s'y installa. Il passa la nuit, puis le lendemain retourna alors à la mairie de la ville. Là il put rencontrer le maire qui était un homme d'environ un quarantaine d'année. Il le fit entré dans son bureau.

«En quoi puis-je vous aider ?»
«Je voudrais savoir depuis quand à commencer les meurtres.»
«Et pourquoi cela vous intéresse t-il ?»
«Je suis arrivé hier et une personne c'est fait tuer juste à coté de moi. Vous comprendrez que je ne me sent pas en sécurité. Les autorités ne font-elles rien ?»
«Si mais personne n'arrive à le trouver.»
«Pouvez-vous me dire combien il y a eut de victimes jusqu'à présents et ou sont elle morte s'il vous plais ?»
«Environ une dizaine, et toutes mortes dans des lieux publiques à forte fréquentation. Mais pourquoi cela vous intéresse t-il ?»
«Je suis ici en tant que superviseur des navires de la Marine, et je ne veux pas que les soldats soit la cible de cette individu»
«Très bien, excusez moi»

Oto quitta la pièce et sortit de l'établissement. Il sentait que quelques choses n'allait pas. Le maire semblait inquiet que quelqu'un lui pose des questions sur l'affaire.

Le membre du gouvernement déambula dans les rues à la recherche d'indice et se dirigea dans plusieurs lieux de forte fréquentation, et questionna quelques passant afin de savoir si il y avait eut des morts causé par le tireur. Sur les zones de fortes fréquentations, jusqu'à maintenant aucun mort à déplorer, mais les personnes sont au courant et vive dans l'angoisse permanente. Oto continua son investigation et arriva dans une zone, ou un individu fut tué. Il questionna les commerçant ainsi que certain passant. Toutes les versions ne s'accordaient pas toujours, mais elle avait toute une partie en commune. Le tireur se situait en hauteur. Oto observa ensuite les alentours, et vit comme la veille que cette zone était vaste et donnait accès à un large champ de vision ainsi qu'à de nombreuse cibles potentiels. Le jeune homme remercia les passants à qui ils posait les questions. Il quitta alors les lieux afin de se rendre sur à un nouvel endroit, mais sur le chemin, un groupe d'individu lui firent barrage. L'un d'eux prit la parole

«Pourquoi tu questionne tout le monde ? Et on t'as jamais vu ici.»
«Je viens d'arriver en ville et je me renseigne sur celle-ci» répondit-il calmement
«Ouais ouais, en tout cas donne nous ton pognon et ont te foutra la paix»
«Viens le prendre»

Sur les dires du membre du gouvernement, les 4 membres du groupe se ruèrent sur lui car ils prirent cela comme de la provocation. Oto utilisa le Kami afin d'éviter leurs assauts. Les jeunes s'épuisèrent à l'attraper, mais ne réussirent pas. L'un d'eux dit essouffler.

«Tu fait comment, sans même te déplacer ?»
«Si je te le dit je devrait te … pardon, vous tuer tous autant que vous êtes»
«Ouais c'est sa connard»

Ils se ruèrent de nouveau sur lui, mais cette fois-ci le membre du CP9 les maitrisèrent et les assommèrent assez pour les faire dormir un long moment.

«Il ne faut pas s'attaquer à plus fort que soit quand on est rien que de vulgaire bouffon en mal de sensation»

Oto se retint, mais l'envie commettre un quadruple homicide le démangeait fortement.

Non loin de la, un peu plus en hauteur, dans l'ombre d'un mur, un individu observa la scène. On pouvait distinguer sa silhouette. Pas bien épais à première vus, les cheveux en dépassant de se qui semblait être un chapeau. On pouvait voir qu'il avait un fusil dans les mains. Cet individu, vous l'aurez comprit, n'est autre que le tireur, mais Oto ne le sait pas, et surtout ne sait pas qu'il est observé malgré son entrainement, à cause de la hauteur et de la distance qui les sépare. Le tireur le reconnu comme celui qui le défia la veille en répondant à ses tires. Il se mit en tête de le poursuivre, de le traquer et de lui faire payer cet affront. Il le suivit partout ou il allait en restant caché.

Après cette petite altercation, Le jeune homme continua son investigation. La journée finit sans aucun tués.

Le lendemain le membre du CP9 sortait à peine de son hôtel qu'un coup de feu retentit. Celui-ci traversa le haut de son chapeau, le faisant voler en arrière, et alla se loger dans une poutre en bois. Oto s'était mis à couvert derrière un petit muret et regarda son chapeau.

«Lui, il est mort»

Le jeune homme se releva et se mis à tirer à son tour. Une suite de coup de feu retentit et cela durant un petit moment. Les échanges se faisait de plus en plus violent. Le membre du gouvernement localisa sa cible, et déchargea le chargeur de ses deux armes à l'endroit ou il l'avait localisé. Les tires s'arrêtèrent suite à cette salve. Oto en profita pour se déplacer discrètement vers l'endroit ou il avait tirer. Une fois sur place, il ne vit personne, mais des traces de sang attirèrent son regard. Il l'avait touché. Il observa les environs à la recherche d'autre indice, mais ne trouva rien d'autre mise à part les traces de sang. Il quitta la pièce tout en restant sur ces grades au cas où le tireur l'attendait au tournant. Il retourna devant alors devant l'hôtel ou il logeait. Il récupéra son chapeau troué et prit une balle logé dans un mur. Il ne connaissait rien en balistique donc la garda avec lui afin de voir ses les autres balles qu'il recevrait était les mêmes. Il déambula dans les rues, et retourna dans la petite boutique de là veille quand les tire on commencé. Il revit la jeune demoiselle qui alla l'accueillir à l'entrée du magasin.

«Bonjours monsieur.»
«Bonjours, vous allez mieux depuis hier ?»
«Oui merci grâce à vous qui m'avez protégé.»
«Se n'est rien. Dites voir, nous n'auriez pas un chapeau comme celui-ci par hasard ?»
«Je vais voir.»

La jeune femme partie dans la réserve du magasin puis en revint quelques minutes plus tard avec un nouveau chapeau à la main. C'était exactement le même que celui que portait Oto, le trou dut à la balle en moins. Il remercia la jeune femme, puis se dirigea vers le comptoir afin de régler son achat, mais elle lui fit le chapeau gratuit en remerciement de l'avoir sauvé. Le membre du gouvernement n'en demanda pas plus, la remercia de son geste et qui la boutique. Il mit la main dans sa poche, et toucha la balle trouvant dans celle-ci. Il réfléchit quelques minutes tout en marchant avant de prendre la direction de la mairie où il s'était rendu la veille au soir avant d'aller à l'hôtel. Il entra dans celle-ci, puis alla dans le bureau du maire. Au passage, il remarqua que sa secrétaire n'était pas là. Il entra dans le bureau de celui-ci et s'assit. Le maire était dans de la paperasse, et ne préta pas attention à Oto. Il savait que quelqu'un était rentré, mais croyait que s'était sa secrétaire. Quand il leva le nez, il le vit alors.

«Ah c'est vous ?»
«Oui pourquoi ? Dites moi, votre secrétaire n'est pas là ?»
«Ah oui c'est vrai, non elle n'est pas là, elle a prit un jours de congé. Je croyait que c'était elle quand vous êtes rentrez. Qu'est-ce que vous voulez ?»

Sans dire un mot, le membre du CP9 posa la balle qui était dans sa poche sur le bureau du démocrate. Celui-ci ne semblait pas rassurer à la vue de l'objet. Il semblait quelque peut déstabilisé. Il demanda alors pourquoi il lui montrait une balle de fusil. Le jeune homme répondit qu'il n'y connaissait pas grand chose en balistique, et lui demanda si il s'y connaissait ou si il connaissait quelqu'un qui pourrait le renseigner. Malheureusement, il ne connaissait rien dans se domaine, mais ne connaissait également personne qui pourrait le renseigner. Il quitta ensuite la pièce, et sortit de l'établissement. Cela faisait deux fois que le maire se sentait mal dès que le jeune homme venait lui parler de se qui se passait en se moment dans la ville. Cette attitude était pour le moins bizarre. Il sortit donc de l'établissement, et parcouru quelque rue avant de sentir quelque chose. Il avait l'impression qu'on l'épiait. Il se retourna alors afin de voir si quelqu'un l'observait. En se retournant, il vit au loin une silhouette se dessiner. Elle avait quelques chose qui ressemblait à un chapeau, les cheveux long et tenait dans une de ses mains se qui ressemblait à une armes de gros calibre. Avec l'autre, elle se tenait le bras au niveau de l'épaule. Il ne pouvait en voir plus car le soleil floutait un peu l'image ainsi qu'avec la distance. Nul doute, il s'agissait bien du tireur.

En voyant celui-ci, Oto se précipita afin de le rattraper. Malgré le fait qu'il utilise le Soru, il ne put le rattraper car celui-ci venait de plonger dans l'eau, laissant le chapeau flotter sur la surface de l'eau. Il le récupéra et l'emmena avec lui. Il rentra alors à l'hôtel, déposer le chapeau, puis ressortit afin de se diriger vers une bibliothèque. Seul inconvénient, il ne savait pas ou elle se trouvait. Il demanda alors à la réception de l'établissement, et le garçon lui indiqua le chemin. Il parcouru plusieurs rues et ruelles avant d'arriver à celle-ci. Il entra dans cette dernière et demanda à l'accueil ou si ils avaient des livre concernant le domaine des armes à feu et de la balistique. La dame qui s'y trouvait lui dit que non, mais qu'elle avait entendu parler d'une sorte d'auditoire, ou l'on en parlait. Il lui demanda alors ou se trouvait l'endroit, mais lui répondit qu'elle ne savait pas. Il la remercia et quitta le bâtiment. Il croisa différentes personnes et leur posait la question. Certain n'était même pas au courant, d'autre savait mais ne savait pas ou cela se trouvait. Il commençait à désespérer, quand il entendit une forte voix. Il s'arrêta quelques instant afin d'écouter se qu'elle disait. Elle parlais justement d'armes à feu. Il suivit alors la voix pour au final se retrouver devant quelque chose qui ressemblait à une grande tente. Il entra dans celle-ci. A l'intérieur, il faisait chaut. Le soleil tapait sur celle-ci, et aucun courant d'air ne passant, ne renouvelant pas l'air ambiante. La salle était à moitié remplit et tous sans exception transpirant dut à la chaleur. Il s'assit alors à une chaise qui se trouvait non loin de lui et écouta se que disait l'homme qui faisait la conférence. Une fois celle-ci terminer, il se dirigea vers l'homme et lui demanda quelques renseignements au niveau des armes, puis après quelques minutes, lui présenta la balle qu'il avait dans la poche. IL lui dit l'avoir trouver et intrigué, il était venue se renseigner. L'homme s'y connaissait un peu et affirma qu'elle venait de chez lui, mais n'utilisa pas d'armes demandant se genre de balle. Il lui dit également que sa collègue utilisait ses balles pour faire des démonstrations.

«Êtes vous les seuls à utiliser se genre de balles ?»
«Oui c'est de la confection artisanal que seul connait ma coéquipière. D'ailleurs je ne sais pas ou est-ce qu'elle est car d'habitude elle est tout le temps avec moi. Mais dites moi, vous êtes sûre que vous l'avez trouvé par hasard ? Car on ne les laisse jamais en lieu public, elles sont toujours avec nous.»

Oto remercia l'homme et quitta la tente avec sa chaleur infernal, pour retrouver le soleil, avec un air plus frais malgré la chaleur. La journée avait été longue, et le soleil se commençait à se coucher. Le membre du gouvernement, regagna l'hôtel ou il logeait. Il retourna dans sa chambre fit un brin de toilette et s'assit sur son lit. Il examina la balle ainsi que le chapeau qu'il avait récupérer, afin d'avoir un peu plus de certitude sur la personne qu'il pensait être le tueur. Pour lui, cela ne faisait aucun doute il s'agissait de la collègue du grand parleur de la conférence. Il repensa à se qu'il lui avait dit. Il lui avait dit qu'il ne se séparait jamais de leurs balles, pourtant c'est belle et bien ses balles qui lui était destiné. Afin d'en avoir le cœur net, il se dit qu'il irait faire un tours au funérarium afin de voir si la balle que l'individu avait reçut le premier jours où Oto était là était la même, puis il retournerait voir l'homme de la conférence. Sur cette pensée, il s'allongea sur son lit et ferma les yeux afin de s'endormir jusqu'au lendemain.

Cela faisait trois jours qu'il était sur l'ile, et depuis, les meurtres avaient diminués. Pour cause, le tireur avait désormais une nouvelle cible; le membre du gouvernement. Le soleil pointait le bout de son nez quand le jeune homme se leva. Il fit se qu'il avait à faire, puis quitta sa chambre pour descendre de le hall de l'établissement. Là, il repensa à se qui s'était passé et se qui s'était dit la veille. Il marcha un peu dans les différentes rues de la ville avant de se rendre au funérarium. Arrivé dans le hall du bâtiment, il aperçu la famille du défunt qui faisait à tour de rôle la veille du membre de leur famille. Il se présenta alors à la famille, en se faisait passer pour un de ses amis et présenta toute ses condoléances à la famille présente. Il demanda également si il pouvait rester seul avec lui le temps de lui faire ses adieux. Le lançant ainsi seul, il prit la plus grande précaution, afin que personne ne le dérange durant son investigation. Il s'excusa auprès du cadavre de la fouiller dans un tel moment. Il commença à lui enlever sa chemise afin d'examiner le corps. Il trouva l'entrée de la balle, et ne savant pas si le légiste l'avait retirer, il regarda afin de voir si il l'apercevait. Se ne fut pas le cas et se dit qu'il avait dut la retirer. Il lui restait plus qu'à retrouver l'homme. Il ré-habilla le cadavre afin de ne rien laisser paraître, puis quitta la pièce en remerciant la famille de l'avoir laisser seul avec le défunt. Au lieu d'aller vers la sortir de l'établissement, il prit l'opposé afin de voir si le légiste était présent, et se fit le cas. Il se présenta comme membre de la marine en charge de l'enquête et lui demanda si il pouvait voir la balle. Le légiste lui montra et le membre du CP9 pour remarquer que cette balle était la même qu'il avait prit la veille. Il la redonna alors au légiste, puis le remercia et quitta l'établissement. Il ne restait plus qu'une chose à faire. Retourner voir le parleur de la conférence. Il s'y rendit en toute hâte et vit que le chapiteau commençait à être démonter. Il demanda aux ouvriers ou il pourrait trouver le maitre de conférence. Ils lui répondirent qu'il était sous la petite derrière. Il se dirigea alors celle-ci et entendit des voix parler assez fort, comme une dispute. Il s'approcha discrètement et écouta.

«Tu était passé où et qu'est-ce que tu as fait ses deux jours, je ne t'es vue? J'ai dit faire la conférence tout seul et pour les démonstrations j'ai pas été super.»
«C'est bon la ferme, je te demande pas ou tu vas quand tu pars avec une jeune fille alors fout moi la paix.»
«C'est quoi cette blessure ?»
«Je me suis fait mal en tombant. Rien de neuf ?»
«Si, un type est venu. Il m'a demander ou tu étais et m'as montrer une des balles que tu fabrique. C'est pour ça ...»
«Qu'est-ce que tu lui à dit ?»
«Que tu ne te séparais jamais de ses balles et que tu était partis tôt se matin.»
«Et à quoi il ressemblait ?»
«Il était en costume avec un chapeau.»

Sur la description de l'individu, la jeune femme se raidit. Elle le regarda d'un aire menaçant et lui dit qu'elle devait partir et qu'il ne devait pas l'attendre pour prendre la mer. Tout en disant cela, elle prit un fusil et des balles. L'homme ne put rien dire car elle était déjà partie. Il se demandait se qu'elle allait faire avec cette arme. Oto qui avait suivit la conversation, attendit une minute avant de rentrer sous la tente. Il saluât l'homme et lui parla de du cadavre et de la balle retrouver sur lui. Il lui dit que les deux balles étaient identique, laissant comprendre que c'est sa collègue qui l'avait tuer. Il s'assit sur une chaise et prit sa tête entre les mains. L'homme ne pouvait le croire. Il regarda le membre du gouvernement et lui dit que maintenant, il comprenait pourquoi elle était distante se matin et qu'elle ne répondait pas à ses questions. Le jeune homme lui dit alors qu'il était là et qu'il avait tout entendu.

«Vous m'espionnez ?»
«Non. Je suis venue vous voire pour vous dire ça. Vous êtes plus que collègue à se que j'ai entendu.»
«Oui on est marié. Pourquoi vous n'êtes pas intervenue pour l'arrêter ?»
«Et prendre le risque qu'elle vous tue ? Moi personnellement je m'en fout de votre vie, c'est juste pour éviter d'avoir un cadavre de plus. Dite moi ou elle est ?»
«Je n'en sais rien. Elle est partit sans rien dire»
«Très bien. Juste une chose, je préfères vous prévenir. Quand je l'aurais retrouver, il y a de forte chance qu'elle meurt.»
«... Ne lui faite pas trop de mal. Elle a quelques problèmes.»

Sur ces mots, Oto quitta la tente et continua son investigation

Il sentait que le dénouement de cette histoire ne tarderait pas à arriver. Il avait questionné pas mal de monde à propose de cette affaire et certain réagissait bizarrement. Sur cette pensée, il retourna voir le maire et jouerait franc jeu avec lui. Sur ce il se dirigea en direction de l'établissement ou il se trouvait. Il pénétra dans celui-ci et sans rien demander, se dirigea vers la porte du bureau de celui-ci. Sa secrétaire le retint un peu et lui dit qu'il était en réunion et qu'il devait attendre un peu. Il s'assit alors alors sur un chaise et prit un journal qu'il commença à lire. Après quelques minutes, la porte du bureau s'ouvrit une jeune femme en sortie, suivit du maire. Le membre du gouvernement assez observateur, remarqua que celui-ci transpirait. Il regarda la jeune femme quitter la pièce. Quand elle le vit, elle s'arrêta quelques seconde devant lui et lui fit un sourire comme pour le narguer. Oto l'observa également me ne fit rien. Ni sourire, ni fronça les sourcils. Il resta impartial en attendant que son heure vienne. Le maire le fit alors entrée dans son bureau. Il s'assit à sa place tout disant au jeune de s'assoir également.

«Je suppose que vous êtes là pour cette affaire ?»
«Cette fois je vais jouer carte sur table, je suis membre du gouvernement mondial et je doit élucider cette affaire, donc dites moi se que vous savez ou s'est moi qui vous cracher le morceau.»

Le ton calme d'Oto le surprit. Il ne savait que dire. C'est alors qui mit sa tête entre ses mains, les coudes appuyer sur son bureau.

«Très bien je vais vous dire. La femme que vous avez vue sortir d'ici, c'est elle la tueuse. Elle m'a dit de ne rien dire su je ne voulais pas mourir ainsi que ma famille, vue se qu'elle avait fait aux personnes qu'elle à tuer ?»
«Je sais que c'est elle la tueuse et je me doutais que vous subissiez des pressions de sa part.»
«Mais pourquoi n'avez-vous rien fait ?»
«Et que vous soyez un dommage collatérale pendant que j'essaie de l'arrêter. Je ne veux pas d'autre mort. Savez pourquoi elle les a tuer ?»
«Non pas vraiment. Se que je sais, c'est qu'elle fait par plaisir et elle m'a dit qu'elle allait quitter la ville afin de ne pas se faire arrêter.»
«Très bien. Je vous remercie. Si vous parlez de moi à qui que se soit, je vous retrouve et je vous tue»

Sur ces mots, le membre du Cypher Pol, quitta la pièce puis l'établissement. Il devait mettre un terme à sa série de meurtre avant qu'elle ne parte et qu'il ne puisse pas la retrouver. Il marcha alors dans les rues quand une balle vint se loger dans le sol à ses pieds. Il regarda alors de l'endroit ou elle avait été tirer. Il vit le reflet du soleil dans la lunette du fusil qu'elle utilisait. Elle se trouvait dans un appartement vide. Il se dirigea alors vers elle, mais elle tira sur lui sans le blesser juste afin de le fatiguer. Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il était du CP9 et qu'il utilisait le Rokushiki. Il utilisa le Soru plusieurs fois afin d'arriver jusqu'à elle. Quand il arriva elle se tenait devant lui, le fusil à la main.

«Je t'attendais. Je vais enfin pouvoir finir ma collection car tu sera le dernier.»
«C'est se qu'on verra.»

Sur ces mots, elle lâcha son fusil et prit un revolver dans son dos. Elle se mit alors à tirer sur le jeune homme. Il esquiva les tirs et se protégea derrière un pilier. Malgré qu'il soit caché il continua à tirer sur le pilier comme si elle voulais le détruire. Le jeune homme sortit de sa cachette en utilisant le Soru. Il se retrouva juste devant elle et en une fraction de seconde la désarma. Cependant, elle avait quelques ressources et armes caché. Elle se saisit automatiquement un couteau et le planta dans le flanc droit du membre du CP9. Il se recula de quelques pas et le retira. Il le lança sur le côté. Pendant qu'il se débarrassait de l'arme, la jeune femme en reprit et les lança sur lui. Il eut juste le temps d'utiliser le Kami afin d'éviter les couteaux.

«Pourquoi tu ne m'attaque pas ? Tu as peur d'une femme»
«Je n'ai pas peur de toi, c'est juste que je voudrais que tu m'explique pourquoi tu fait ça avant de t'arrêter.»
«Si tu me bat je te le dirais.»
*J'ai pas l'habitude d'agir comme ça mais pour une fois que je ne veux pas de sang, on m'en demande. Dans se cas.*

Oto esquissa un petit sourire en coin.

Soru
Kame no Hanma

Le jeune homme se retrouva derrière la jeune femme et lui lança une attaque grâce à son fruit du démon. Elle se retrouva propulsé contre le mur et se releva avec difficulté. A peine relevé elle lui renvoya un salve de couteau que le jeune homme esquiva grâce au Kami. Elle se mit à courir sur lui afin de l'attaquer au corps à corps, mais il la stoppa avec un coup de pied dans l'estomac. Plié en deux par la douleur, il utilisa une nouvel fois le Soru pour se retrouver derrière elle encore une fois. Il la frappa dans l'arrière des genoux afin de la mettre à terre et une fois fait, il lui asséna un violent coup de pied dans le flanc la propulsant contre le mur opposé. Effectivement, elle avait encore quelques ressources puisqu'elle se releva de nouveau. Elle fondit sur lui avec rage. Elle réussi à le blesser au niveau du bras, mais se stoppa net. Elle venait de se faire pénétrer au niveau de l'épaule par un Shigan. L'attaque ne se planta bien loin dans la chaire, mais juste de quoi la stopper et la faire saigner. C'est la première fois qu'il utilisait cette attaque. Il lui remit un coup de pied la propulsant un peu plus loin de lui. Elle s'assit alors contre un mur affaiblie. Elle ne voulait plus se battre face au jeune homme. Elle s'adressa alors à lui.

«Je ne pourrais pas te battre. Dit moi qui tu es car je n'ai jamais vue de personne utiliser ses pouvoirs.»
«Répond d'abord à mes questions et je te le dirais. Pourquoi fait tu cela , tous ses meurtres ?»
«C'est simple. Je suis malade et j'en est plus pour longtemps. Mais se n'est pas ça le principal. J'ai fait ça car une voix ma parler et elle m'a dit de tuer des personnes afin que je puisse guérir. Quand vous êtes arriver en ville elle m'as dit de te tuer et à se moment là, je serais guéris. J'ai répondu à votre question, à moi maintenant. Qui êtes vous ? »
«Si je vous le dit, je devrais vous tuer.»
*Se n'est pas claire cette histoire de voix*
«Sa ne fait rien, au point ou j'en suis.»
« Dite moi d'abord c'est quoi cette voix ?"
"C'est une voix qui me parle dans ma tête, mais ce qui est bizarre c'est que je la connais cette voix mais je ne me rappelle pas."
"Très bien. Je suis membre d'une organisation et j'ai pour mission de tuer de voler et d'espionner.»
«Merci de m'avoir écouter Vous pouvez y aller.»

La jeune femme sourit. Elle était contente d'avoir put parler à quelqu'un avant sa mort. Oto respecta se qu'il lui avait dit, et lui tira un balle dans le cœur car pour lui, une balle dans le cœur est un signe d'une mort digne.

Il resta à coté de la jeune femme quelques minutes, juste le temps de l'allonger et de lui faire croiser les bras avant de quitter la pièce ou elle se trouvait. Il sortit dehors quand une balle vint se loger dans son bras. Il se mit à couvert. Et regarda discrètement qui lui avait tirer dessus. Il reconnue alors le mari de la femme qu'il venait de tuer.

«Elle morte cette garce, tu l'as tuer c'est bien. Maintenant c'est moi qui vais te tuer.»
«Essaie toujours. Mais avant j'aimerais savoir pourquoi lui as-tu fait croire quel pourrait être guéris si elle tuait ?»
«Tout simplement car elle allait mourir et elle ne voulais pas. Elle m'as dit que la seul chose qui la guérirait était un miracle de la part de dieu. Donc je lui ais fait croire cela.»
«Pfff. C'est toi qui a un problème. Ce n'était pas elle. Elle était désespérer et tu l'as fait encore plus souffrir.»
«Ferme ta gueule, tu ne sais pas se que sais que de s'occuper de quelqu'un de mal ...»
"C'est toi qui va la fermer et pour de bon"

L'homme ne put finir sa phrase. Il venait de recevoir un balle en pleine tête. Cette balle avait été tirer depuis l'arme d'Oto. Quand le tire retenti, nombre de personne se cachèrent, puis vinrent voir se qui s'était passé. Le maire fut alerté et arriva aussitôt sur les lieux. Quand il arriva, il vit le membre du CP9 avec une armes à la main, il s'approcha de lui avec des marines qui lui passèrent les menottes et l'emmenèrent Dans le quartier de la marine. Une fois là-bas, il allait passé un interrogatoire quand le plus haut gradé présent reçut un appel. Un appel du gouvernement lui disant de relâche le jeune homme. Les marines ne comprenaient pas pourquoi, mais se plièrent aux exigences. Cependant afin que cela fasse plus crédible aux yeux de la population, ils l'emmenèrent sur le navire de la marine par lequel il était arrivé. Celui-ci venait de finir d'être réparer. Il quitta alors le quai auquel il avait été affecté puis prit la mer.